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| Nos balades dominicales
En guise de préambule : Nous n'organiserons toujours que DEUX PROMENADES par mois et cela, EN FONCTION DES CHAPITRES PRÉVUS. PRIORITÉ AUX CHAPITRES !!!
Lors de notre dernière assemblée générale du 20 Février dernier, j'ai interrogé les "promeneurs" présents pour leur proposer une modification dans l'organisation de ces promenades. Ayant reçu leur consentement, dorénavant,
nous procèderons de la sorte. Nos "promeneurs" s'affilieront à l'ADEPS en prenant une carte de membre valable 5 ans, sur laquelle on colle un timbre annuel de 2 € et vous êtes assurés, pour tous les incidents, accidents ou
autres problèmes lors d'une manifestation ADEPS.
Le choix du lieu de la promenade tournera toujours autour d'un rayon de 50 kms, en changeant chaque fois de province : Brabant Wallon, Hainaut Est, Namur, Liège Ouest. Maintenant suite à un motif spécial, nous pouvons nous
rendre dans un autre lieu : comme Bruxelles mais c'est très rare. Responsable du Choix : Edmond.
Nous nous réunirons, toujours au centre d'accueil au départ dénommé "POINT VERT ACCUEIL", et nous aurons le choix de la distance : 5 kms ou 10 kms et les 15kms... !!!
Edmond ou Yves sera là pour vous accueillir et vous expliquer ce qu'il faut faire (si vous ne l'avez jamais expérimenté). Il est préférable que ceux qui font les 10 kms partent avant ceux des 5 kms, pour se retrouver vers 11h45
au point vert accueil d'où vous serez partis. Attention à bien suivre le fléchage : 5 kms suivre couleur BLEUE et 10 kms suivre la couleur JAUNE. Une flèche VERTE veut dire parcours COMMUN.
Enfin, lorsque vous arrivez à un carrefour, si vous voyez une flèche noire avec X dessus, cela veut dire qu'il ne faut pas prendre cette direction.
Autrement dit : la promenade nous permet de discuter ensemble, mais quand vous arrivez à un carrefour soyez attentifs au fléchage. Si vous suivez d'autres marcheurs qui parcourent votre distance, vous pouvez leur demander conseil.
Les flèches sont souvent fixées à 1m80 du sol, soit à un arbre (rouleau plastique), soit collées à un poteau, à une clôture, à un piquet.
Nos accompagnateurs, c'est à dire ceux qui viennent boire l'apéro, auront l'adresse et nous attendrons pour terminer la matinée en beauté. Il y a toujours une bière spéciale du coin. !!!
Nous ferons toujours notre cagnotte et de la sorte, pour votre carte et le timbre à 2 € pour 2025, c'est notre cagnotte qui intervient.
Et comme d'habitude, nous retournerons vers nos pénates une heure après.
Conclusions : Ne plus se casser la tête pour choisir un patelin, reconnaître une fois ou deux fois, plus besoin de réserver un bistrot, plus besoin de faire des photos du parcours, aucun risque de se perdre
et vous êtes assurés.
RAPPEL :
Si vous voulez une carte ADEPS, vous m'envoyez vos Nom, Prénom, Adresse complète, date de naissance, téléphone GSM, et adresse mail. Vous recevez quelques jours après votre carte et la première PROMENADE ADEPS que vous faites,
vous y faites coller le timbre 2025 qui vous assure pour un accident ou incident durant la promenade.
Sur le site ADEPS SPORT, vous cliquez et au milieu de la page vous avez tout le programme 2025 des marches classées par province.
Voici le programme des prochaines promenades dominicales :
Pour infos :
Je pense que vous devez vous y prendre au maximum le Vendredi SOIR pour vous inscrire.
Départ en 10 ou 5 kms toujours à 10h00 car il y a l'apéro à 11h45 évidemment.
Bonnes balades et soyez prudents tout en faisant d'éventuelles photos pour les résumés sur le site.
09/03/2025 : IXELLES - Rendez-vous au 100 rue Elise à 1050 IXELLES (Proche de chez Yves CATFOLIS) - Départ 10h00 et apéro vers 11h30 pour ceux qui ne marchent pas mais qui désirent nous voir. Merci pour la cagnotte !
23/03/2025 : NIL ST VINCENT (BW) - Rendez-vous au 1 place du Tram à 1457 NIL ST VINCENT (par l'autoroute E411) - Départ 10h00 puis comme ci-dessus.
Ci-dessous, un petit compte-rendu de ces marches de la plus récente à la plus ancienne.
2025
Le 23 FÉVRIER, que faire ? Pas de train pour se déplacer, la veille il pleut et malgré tout, je souhaite marcher. Heureusement j'ai du renfort pour me
rendre à la marche à Namur : ma fille aînée et sa cousine.
Pour arriver à l'accueil, après avoir pris deux sens interdits au rond-point de la gare de Namur, avoir tourné en rond, nous arrivons enfin et, coup de chance, une place se
dégage presqu'en face du bureau d'accueil. Formalités habituelles et nous pensons rester en ville, mais non, nous grimpons une route asphaltée mais dont le degré d'inclinaison
n'est pas négligeable. Très vite on comprend que l'on va atteindre la citadelle, surtout quand nous devons prendre un chemin à gauche qui nous mène dans les petits chemins
d'accès. Et là on déguste l'étroitesse des sentiers, boueux, où l'on se marche sur les pieds presque... pour arriver à la rue des Canons que nous devons encore monter.
Hommage à la gent féminine, j'immortalise le lieu (Photo 1). Chemin faisant, je suis interviewé par la RTBF, où l'on me promet que l'on passera à la TV et au moment où j'écris
ces lignes, comme soeur Anne, je n'ai rien vu venir.
Nous découvrons enfin les contours de la citadelle, l'école "Reine Fabiola" et nous redescendons vers notre lieu de départ. C'est nettement plus cool. Nous arrivons à
destination, et nous récupérons en dégustant un croque-monsieur fait maison, et une bonne bière ou un soft pour les dames (Photo 2).
Finalement une bonne journée, sans pluie, mais avec les quadriceps assez fatigués. Cela ne nous aura pas ôté notre joie et notre bonne humeur.
Le 9 FÉVRIER, Jean-Louis, Sophie, Philippe et Yves se retrouvent à PLANCENOIT à la recherche des Poilus de Napoléon.
Joël et Danielle sont venus, ont vu qu'il pleuvait et sont repartis. Il est vrai que la plupart des Chauves ont passé l'âge de swinger sous la pluie, le programme du jour
consisterait plutôt à éviter de valser dans la boue.
Comme il a commencé à pleuvoir une demi-heure avant l'heure du départ et que la pluie n'a pas l'intention de s'arrêter, nous nous jetons dans la bagarre, les uns chaudement
emmitouflés, les autres, le capuchon bien enfui sur le crâne.
Première halte du jour, un poste de guet qui aurait permis à Napoléon d'avoir une vue d'ensemble sur la bataille de Waterloo. Nous allons jeter un coup d'oeil (photos 1 et 2)
mais tout ce que nous voyons c'est le Lion de Waterloo. Pour le reste pas grand-chose. Mais où sont donc passés les poilus ? Difficile à dire alors que tout le monde à la tête
bien couverte. En tout cas ce n'est pas ici que nous trouverons la réponse.
Et durant un peu plus d'une heure nous allons parcourir des chemins de terre à la recherche de ces fameux poilus. Heureusement il n'y a pas trop de boue et en ce qui concerne
la pluie, nous en avons vu d'autres. Nous n'avançons pas vraiment vite, préoccupés par notre quête. Nous, nous sommes les Chauves, d'ailleurs c'est écrit dans notre dos, mais
les autres où sont-ils ? Au moment où nous commençons à perdre l'espoir nous apercevons des chevaux (photo 3). Appartiendraient-ils aux poilus ?
Nous arrivons sur des rues pavées. C'est ici que se tenaient les canons du 4ème corps d'armée de Von Bülow. Un de ses descendants se souvient des paroles historiques
"Wir schiessen alles um uns herum, alles ab. Poilus kaputt." (Nous abattons tout, tout à plat. Il n'y a plus de poilus.).
Bien triste tout cela ! Notre promenade s'achève. Pour se réchauffer les uns prennent une soupe, les autres une bière. Tout le monde enlève ses vêtements mouillés.
Mais que voyons-nous : la moitié des personnes sont chauves, l'autre moitié est chevelue. Mais nous les avons retrouvés les poilus !
Yves CATFOLIS
Responsable-Adjoint des promenades dominicales
Le 26 JANVIER, comme je ne reçois aucune inscription, et je comprenais qu'avec la météo vécue toute la semaine, il n'y en aurait pas, je me décide quand même à me rendre sur les hauteurs d'AMAY
pour effectuer mes 10 kms. Le matin le ciel est gris, un peu de soleil, mais il avait plu toute la nuit. On verra !
Oui c'était tout vu car le monde arrivait et dès 9h30 je démarre en suivant un parcours très bien fléché. Tout d'abord des routes dans le patelin, super, mais c'était trop beau (Photo 1) et lorsque nous devons descendre dans un petit
bois, c'est l'épreuve commando mais à plus de 80 ans ! Un chemin très étroit regorge de boue partout, et heureusement que j'avais mes fidèles bâtons qui m'aidaient à garder l'équilibre.
Il y avait près d'un kilomètre d'aventures pour arriver finalement dans la vallée au bord d'un ruisseau que nous suivons. Mais comme celui-ci a débordé, et que personne n'avait des palmes, on a dû rentrer sous les arbres pour obtenir
un tantinet de chantier. La montée, aussi longue fut du même acabit dérapage, glissade arrière, chute : tout cela avec commentaires et autres termes assez injurieux sur le sort qui nous accablait.
Ouf on remonte, disons à pied sec sur une route de campagne, mais malgré les senteurs du BBQ éloigné, nous devons reprendre dans un second bois, et là, à nouveau le même cinéma, et ce qui devait arriver arriva, voulant éviter une
marre, j'ai pris un endroit rempli de feuilles et j'ai accroché sous des racines de buissons et ce fut la chute. Heureusement, excepté quelques égratignures au visage, rien d'autre n'était abîmé.
Les différents parcours se rejoignant : plus de marcheurs encombraient le passage, et surtout voulaient éviter la chute. Mais là, non, un monsieur d'abord et ensuite une dame, en montée vers l'arrivée ont pris un billet de parterre.
Enfin l'arrivée après près de 11,500 kms et la récupération vu les efforts endurés et la tenue vestimentaire... maculée de boue (Photo 2).
N'empêche, une Splendide des Fagnes pour accompagner deux boulets/frites ont tôt fait de me remettre d'aplomb et de rentrer calmement pour prendre une longue douche bienfaisante.
A signaler que notre président et son épouse ont aussi soigné leurs rhumatismes à la marche ADEPS de Sombreffe. Et tout cela dans la joie et la bonne humeur, mais à ne pas recommencer trop souvent.
Edmond KERSTENNE
Responsable des promenades dominicales.
Le 12 JANVIER, rien de prévu officiellement pour une balade. Comme d'autres organisations avaient lieu ce week-end, personne ne pouvait venir marcher : j'ai donc pris mon courage à deux mains.
La météo affolante, pessimiste, ne m'a pas retenu que du contraire. LONZÉE, près de Gembloux, proposait une balade ADEPS que nos marcheurs ont déjà effectuée auparavant.
Ciel presque tout bleu, pas un chat sur l'autoroute, il est 9 heures pourtant, pas de verglas et un temps clément. Que vouloir de plus ? Rien sinon une belle place de parking en face de l'accueil.
Le sol est gelé et des aspérités de rigoles gelées nécessitent la prudence et l'utilisation des bâtons de marche. Le parcours est très bien balisé, le fléchage est visible à 50 m et on ne connait pas la boue, même dans ces chemins de
campagne. Du blanc à longueur de vue (Photo 1) ! Sur le retour, j'aperçois l'ancienne abbaye de moniales d'Argenton. Sans doute, mon K-way rouge attire l'attention d'un chien qui semble me demander où se trouve Philippe, lui qui
souhaitait rentrer dans cet ordre il y a quelques années. La photo est parue à l'époque sur le site : comme réponse, je fais un selfie avec cette magnifique bâtisse en arrière-plan (Photo 2).
On s'est quittés après la caresse exigée par l'animal et j'ai rejoint le ruisseau l'Argenton, toujours propre, accueillant et bien entretenu.
L'arrivée se profilait à l'horizon et c'est avec délectation que j'ai dégusté une MOBIUS, bière de très bon goût, (Photo 3) en discutant avec deux couples. En partant, les deux Messieurs, titulaires d'une calvitie naissante,
me demandèrent une carte de visite de notre Royale Confrérie. Je me suis exécuté "illico presto" en pensant que c'était le troisième dimanche que je distribuais cette carte.
Retour calme, croisant des potentiels promeneurs enfin décidés à venir marcher. Mais la glace risquait de devenir boueuse !
Edmond KERSTENNE
Responsable Cellule Promenades.
Le 5 JANVIER, Ingrid, Philippe et Yves se rendent à Braine-l'Alleud, malgré que, pour Bruxelles et le Brabant, les as de la météo annoncent un peu de neige et de verglas, le matin et suivis de fortes pluies !
Temps réservé aux courageux en bonne santé. 8 heures du matin, très peu de neige, température 3° qui montera en flèche. Quelques instants, plus tard, des fortes pluies ne nous quitteront plus de la journée.
Tracas pour trouver un parking. Ingrid ne connaît pas les mêmes problèmes, vu qu'elle a choisi le train. Formalités diverses et hop, on démarre. Peu de monde sur le parcours qui commence par des pavés, bien vite, suivis de chemins
boueux où l'on doit regarder où on met les pieds, notamment pour ne pas glisser. Des bâtons de marche auraient été utiles, si pas un canoë, mais...
Au loin le son venant d'un clocher ; oui, peut-être aurait-on dû assister à la messe, à l'abri ! Les rus qui dévalent des talus, vu l'apport d'eau, deviennent des torrents et hop, on évite !
Nous traversons des hautes herbes par un chemin en pente, sous les aboiements d'un chien qui, sans doute, souhaitent nous aider ou nous guider ! Mais son maître nous ignore. Nous longeons, sur un sommet, un potager, et nous pensons
à une bonne grosse soupe qui nous réchaufferait. Arrive une longue descente pavée, à notre satisfaction, et dans l'euphorie nous ne remarquons pas la bifurcation ce qui nous obligera à rebrousser chemin, perturbés, mais toujours
vaillants.
Enfin l'arrivée, trempés comme des canards, des souliers boueux à l'extrême : bref, nous avons chacun augmenté notre poids de trois kilos. Mais la récompense se déguste : de la bière, du fromage offert par notre ami de la fromagerie
des Ardennes (Roux des Carmes délicieux) sont les bienvenus. Qu'il en soit remercié. Une photo souvenir (ci-dessous) au calme alors que, sans doute, nos lecteurs auraient souhaité de voir une belle glissade, tout en ne souhaitant de
mal à personne.
Une fois rentré chez nous, le chauve mettra en moyenne une minute pour se sécher le crâne, le chevelu au moins une heure et le chien six heures pour ses poils. "Ah Quel Bonheur d'être Chauve... and so one !!!".
Yves CATFOLIS
Responsable-Adjoint des promenades dominicales.
Le même 5 JANVIER, réveillé à 4h00 du matin, Edmond décide d'éviter la grippe et de rester au chaud. Envoi d'un SMS pour signaler son absence à Braine-l'Alleud. Vers 9h00, au réveil, il sonne à Philippe pour
s'excuser mais, que nenni. Eux sont déjà en chemin vers la destination prévue (voir ci-dessus) ! Sa fierté ne fait qu'un tour. OK ! Il s'habille (se doutant que la douche serait pour le retour) chaudement de la tenue habituelle et
décide de se rendre à NOVILLE-LES-BOIS, pour défier le temps identique à celui du Nord. Bâtons de marche bien nécessaires, il démarre face au vent, casquette immédiatement baptisée par les pluies, sur une route pavée.
Connaissant l'endroit, il sait que tout sera plat, mais sans aucune protection contre les éléments. Il arrive au château de Fernelmont (photo ci-dessous), n'a pas le courage d'aller saluer sa fille qui réside à 300 m car, eh oui, comme
Yves le décrit, il s'engage dans des chemins entre champs, truffés de flaques d'eau, d'ornières de tracteurs.
Pas un chat sur ce parcours, excepté un adulte et sa petite fille : ils discutent tout en veillant à garder leur équilibre.
Enfin, de retour sur le macadam, ils rejoignent notre point de départ et Edmond se délecte d'une bonne soupe à l'oignon chaude, fromage à volonté et d'un pain saucisse qui l'ont rétabli pour rentrer en vitesse.
Une bonne douche et tout rentrait dans l'ordre avec une bonne sieste. "Ah quel bonheur d'être chauve, le nudisme de l'esprit" (sous la douche, c'était normal !).
Edmond KERSTENNE
Responsable des promenades dominicales.
2024
Le 29 DÉCEMBRE, dernier dimanche de l'année, le choix d'une destination allait de soi : c'était Ellezelles (trop loin) ou Dorinne, que j'ai choisi, à côté de Spontin dans la vallée du Bocq.
Quand je me lève à Andenne et que j'ouvre ma fenêtre, brrr, le thermomètre indiquait -3 . Qu'importe, je décide d'aller marcher quand même et j'arrive sur place, après avoir traversé quelques bans de brouillard, vers 9h30.
Dans la localité, toutes les rues étaient encombrées de voitures et j'ai eu un coup de chance, en arrivant, une voiture démarrait, mais j'avais encore 500 m à faire.
Deux jours avant, ayant fait 12 kms à Tongres, je m'estimais heureux d'en faire 5 qui en étaient en fait 6,5 kms.
Parcours commun pour démarrer puis nos chemins, en fonction des distances, se séparent et je descends par un chemin de campagne, à travers des prés encore gelés (Photo de gauche). Heureusement que j'ai mes bâtons, car le gel a rendu les chemins un
peu glissants, mais qu'importe, l'air est pur. A la fin de la descente, nous prenons à gauche dans les bois, que nous parcourrons durant 3,5 kms. Nous dominons la vallée du Bocq, dont les méandres sillonnent à travers champs.
Oui, c' est bien de descendre mais il faut remonter. Excepté quelques oiseaux, on n'entendait rien, que le pas craquant sur les feuilles gelées. Mais nous avalions des bouffées d'air frais, nous faisions preuve d'un bon équilibre.
Au sommet, enfin, c'était plat, et en récupérant, en papotant entre marcheurs, nous avons regagné la salle Saint-Fiacre où régnait une animation de fin d'année, de fête et de joie et de bonne humeur.
Très vite, mon K-way a attiré l'attention, dont celle d'Henri, qui en blaguant, me confia qu'il était chauve également. Son épouse, Sandrine, nous a pris en photo (Photo de droite). Moi, je rentrais chez moi, mais, et eux repartaient marcher 15 kms.
En transpiration mais heureux, avant de partir, j'ai pris un potage au cerfeuil avec du gruyère et bu une Triple Moine au fût, qui m'a conseillé de rentrer avant que je ne m'endorme.
Voilà, chers amis promeneurs, la clôture d'une année de promenades que nous continuerons à parcourir. Je vous remercie pour la confiance que vous témoignez à Yves, Philippe et moi-même.
Je vous remercie pour votre participation, quand vous le pouvez. Je vous invite chaleureusement à participer en janvier à l'une des deux balades, pour que l'on puisse vous délivrer le timbre d'assurance.
Vous trouverez les dates et adresses ci-dessus. Très belle année 2025 et merci !
Royales amitiés.
Edmond KERSTENNE
Responsable des promenades dominicales.
Le 1er DÉCEMBRE, week-end très chargé par le début des ambiances de Noël. Pascal, Nathalie, Margot, Philippe et Edmond ont participé à la promenade ADEPS d'ANDENNE.
Il faisait 3°, mais Edmond, présent dès 8h30, connaissant les difficultés de parquer dans cette rue, a pris la décision de garder des places, surtout pour Pascal. Philippe me roula presque sur les pieds, sans doute était-il ébloui
par le soleil et gara sa voiture à 300 m. Pascal a sauté une sortie d'autoroute d'où, demi-tour, et a quelques minutes de retard.
Une bonne tasse de café, et nous nous engageons depuis le point de départ à l'Ecole Sainte-Begge sur le parcours de 5 kms. Edmond, Andennais depuis peu, a pu donner des explications aux différents monuments rencontrés durant le
parcours. (Photo 1 : collégiale Sainte-Begge). A Andenelle, en bord de Meuse, nous rejoignons le long du chemin de halage, notre point de départ (Photo 2 : Pont sur la Meuse).
Nous marchons d'un bon pas, mais nouveau problème, Philippe ne sait plus où sa voiture est parquée. Nous avons pu retrouver l'endroit, à 100 m du point de départ et il était temps d'arriver car beaucoup de marcheurs avaient déjà
pris d'assaut l'immense réfectoire de cette école.
Pascal, avait réservé les places nécessaires, offrait l'assiette apéritif (saucissons et cubes de fromage) qu'accompagnait une bonne Chouffe. Nous avons remarqué que cet endroit serait peut-être tout désigné pour une prochaine balade
du muguet en 2026.
Renseignements pris, il faut au moins réserver un an à l'avance, et surtout que le 1er mai ne tombe pas durant les périodes de congés. Or maintenant, on fait tellement des lois, que l'on peut toujours s'attendre à une peau de banane
quand tout va bien ???
Vers 13 heures, nous avons repris le chemin de nos pénates très heureux de cette matinée revigorante, basée sur les exercices physiques (marcher, lever le coude, etc...) qui nous font un bien fou (Photo 3) !
Dernière promenade prévue en 2024, ce sera à PERWEZ le 15 décembre. Voici l'adresse : Salle de la Posterie, Avenue Wilmart à 1360 PERWEZ.
Essayons d'être le plus nombreux possible avant de vieillir d'une année.
Merci à Margot pour les photos. Le choix fut difficile !
Le 17 NOVEMBRE, Yves et Philippe ont choisi de retourner à Ottignies-Louvain-La-Neuve pour parcourir les 5 kms. Il faut dire qu'ils étaient en pays de connaissances, vu qu'en 2023 nous avions organisé notre
balade du Muguet au Collège Saint Pie X.
Ils ont travers beaucoup d'endroits qu'ils connaissaient déjà, mais ils ont eu le loisir d'admirer les chemins forestiers entre les ruisseaux et autres fleurs : tout cela sous les chants des jeunes oiseaux.
Vous avez la faculté de parcourir cette promenade à votre aise : vous la trouverez en photo et nous pouvons fournir l'itinéraire. Ils n'ont pas oublié la cagnotte ce dont nous les remercions.
Dimanche prochain, nous organisons notre dîner de fin d'année dont vous pourrez retrouver le reportage également sur notre site sur la page d'accueil. Donc pas de promenade le 24 Novembre.
Edmond KERSTENNE.
Responsable des promenades dominicales.
Le 11 NOVEMBRE, jour de l'Armistice de 1918, le club de foot de Jehay-Bodegnée organisait une marche ADEPS. Le responsable principal était un pensionné de la banque à laquelle j'appartenais et nous étions en
principe 14 à nous y rendre. J'avais également proposé cette marche à nos promeneurs mais c'est le dimanche matin que la famille ROBYNS annonçait sa participation. Un temps de chien, brouillard, pluie, nous ennuyaient et finalement
nous avons pris le chemin des 10 kms.
Un magnifique parcours nous attendait très plat au début jusqu'u moment où nous entrions dans les bois. Là, oui, il fallait tenir en équilibre entre les arbres qui se dénudaient sans vergogne, feuilles au sol. Celles-ci se mêlaient
avec la terre et donc une boue bien glissante déroulait son tapis.
Nous étions prévenus, qu'à la fin de la promenade, existait une côte un peu dure !!! Mais ce que nous ne savions pas qu'elle était précédée de deux autres côtes dans des chemins très étroits, et sur lesquels certain(e)s ont pris un
billet de parterre.
Après deux heures de marche nous terminions notre preuve digne des jeux olympiques ou de cross-country, heureux, fatigués, mais fiers d'avoir effectué ce deal !!!
Hop, un petit changement de bottines, une ou deux Tripick, un pain saucisse de derrière les fagots, avec comme dessert un morceau de tarte et vers 14 heures nous regagnions nos pénates.
La photo est prise au sommet d'une des côtes. Qui veut peut. Mais pas chaque jour.
Edmond KERSTENNE.
Responsable des promenades dominicales.
Le 1er NOVEMBRE, jour de Toussaint, excepté la visite aux cimetières, rien de prévu. Finalement je me suis senti en forme pour me rendre à MEHAIGNE (entité d'Eghezée) et y faire 7 kms.
Temps gris, frais, sans pluie et une bonne foule de participants. Accueil très sympathique et le comité organisateur a pensé à ajouter sur la carte des 5 kms, un accès pour parcourir 7 kms. Ce que j'ai fait !
Sur cette distance, excepté la traversée d'une route, danger bien indiqué sur le plan, nous avons emprunté des chemins de terre, quelques centaines de mètres en bord de champs et de l'asphalte. Nous avons parcouru un itinéraire
consacré à la naissance de la Mehaigne, au milieu d'arbres perdant leurs feuilles, en bord de champs de maïs, de tournesols, et certains, de betteraves arrachées, déjà labourés pour une prochaine culture (photo de gauche).
Dans la forêt, au détour d'un chemin, nous avons traversé un pont enjambant le ruisseau (photo du centre). Vu la qualité du revêtement, beaucoup de poussettes transportant des petits enfants, ne rencontraient aucunes difficultés de marche.
Le retour se fit par un Ravel bien dégagé et, à la buvette, une triple Karmeliet me remit d'aplomb (photo de droite). Même si j'étais seul je me suis très bien amusé et c'est le principal.
Après ces dimanches consacrés aux chapitres, nous reprendrons le cours de cette organisation qui nous permettra d'autres agréables découvertes. Vous serez avertis à temps !
Edmond KERSTENNE.
Responsable des promenades dominicales.
Le 1er SEPTEMBRE, nous avons repris le rythme de nos promenades, et c'est la commune de WATERMAEL-BOITSFORT qui nous attendait. Je pense que nous y participons pour la troisième année consécutive.
Nous étions 8 participants en ayant le plaisir d'accueillir Ingrid MOIMONT de l'Ordre de Gambrinus, qui semble intéressée par cette initiative dominicale comme Dirck de la Confrérie des Compagnons du Witloof.
Après les présentations d'usage, Jean-Louis et Yves ont choisi de parcourir les 10 kms (qui en faisaient 12), Brigitte, Ingrid, Nathalie et Gilbert ont déambulé sur le parcours de 5 kms (presque 6). Et les deux autres ? Pascal et
moi-même sommes restés en terrasse en prenant le verre nécessaire par cette chaleur et en attendant nos amis pour l'apéro avec cagnotte.
Je remercie Nathalie pour les photos reçues et j'en ai choisi 4. Pas d'être humain mais la belle nature, verdoyante, irisée de couleurs vives, et offrant un décor de repos, de décontraction et de bien-être.
Comme quoi Bruxelles et les environs possèdent de beaux coins où l'on peut se promener en discutant, en observant.
De retour au point de départ, Gilbert et son épouse ont directement demandé une triple Westmalle, et les autres ont dégusté une Leffe Ruby, une Blanche et autre Coca sans sucre.
Alors que l'on croyait qu'il y avait peu de monde, vers 12h30, une file de marcheurs attendaient patiemment d'être servis tant ils étaient assoiffés. Nous avons surtout discuté des prochaines organisations de notre Royale Confrérie,
en fonction des chapitres dans les confréries gastronomiques belges ou étrangères, en fonction des organisations des confréries ou groupements folkloriques bruxellois qui ne manquent pas.
A 13 heures nous nous quittions.
Veuillez noter que, vu les activités des week-ends des 8, 15 et 22 Septembre, nous avons bloqué la date du 29 SEPTEMBRE 2024 pour laquelle, notre organisateur YVES proposera une balade (hors-ADEPS) à Woluwe-Saint-Lambert.
Dans le courant du mois, vous recevrez l'invitation avec les précisions souhaitées. Malgré la chaleur, tous présentaient les symptômes d'une joie liée à leur bonne humeur. Au 29 SEPTEMBRE 2024 !
Edmond KERSTENNE.
Responsable des promenades dominicales.
Le 17 AOÛT, Pascal, son épouse Nathalie et leurs deux filles, Emilie et Margot, Edmond, Philippe et Yves ont décidé de participer à la promenade et au BBQ de la STIB au profit du Télévie.
Les quatre premiers sont arrivés avec une heure d'avance mais ont été forcés de rester à l'extérieur parce que la personne qui détient les clefs arrive bien après l'heure prévue.
Nous attendons encore un bon bout de temps avant que les derniers inscrits à la promenade arrivent. Enfin nous pouvons y aller. Pascal ne vient pas marcher, il tiendra compagnie à Edmond. Celui-ci du haut de ses quatre fois vingt
ans est plus dynamique que jamais. Hélas, comme cela arrive à tous les grands sportifs, il est blessé et les médecins lui ont déconseillé de parcourir de longues distances.
La promenade suit un parcours qui ressemble fort à celui de notre dernière balade du premier mai. Nous prenons directement la rue Joe Van Holsbeeck qui nous mène à proximité de la gare. Nous partons ensuite dans les chemins de
campagne bientôt suivis par les bois. Les fortes pluies des jours précédents rendent le parcours fort boueux. Donc attention de ne pas glisser et pour les petits parmi nous de ne pas se noyer dans les flaques d'eau.
La promenade est cependant fort agréable et se déroule sans les moindres encombres. La nature est belle et tout le monde est heureux.
Sous les commandes de Nathalie et de ses filles qui ont immédiatement pris la tête de la colonne nous atteignons bientôt l'arrivée. Quelques boissons bien choisies nous remettent aussitôt d'aplomb (Photo 1).
Philippe nous quitte retenu par d'autres obligations. Nous attendons encore quelque temps avant que le barbecue ne soit prêt. Celui-ci se révèle de toute bonne qualité (Photo 2). La brochette de boeuf est particulièrement juteuse.
Nous nous délectons.
Quelques instants plus tard nous nous disons au revoir, d'autres activités nous attendent. Nous sommes ravis d'être venus passer quelques heures ici, de plus au profit du Télévie.
Yves CATFOLIS.
Responsable adjoint des promenades dominicales.
Le 28 JUILLET, Yves, Philippe et moi-même nous retrouvons à Longueville entité de Chaumont-Gistoux. Ciel bleu, monde fou, soleil et nous voilà parti pour
nos 5 kms.
Tout d'abord nous fréquentons des routes étroites, au milieu de campagnes. Nous profitons de quelques panoramas avant de longer la Ferme du Château d'Arnelle, (Photo de gauche)
une résidence qui propose des salles pour des festivités comme un chapitre par exemple.
Après les chemins en dur, nous arrivons sur un parcours de sentiers de prairie, par le Hurlan Pré (Photo du centre), d'où l'on distingue dans le fond une chapelle très bien entretenue.
Enfin nous arrivons dans la partie "forêt" par le sentier du Champ de Robles (Photo de droite). Une heure trente de rencontres, toujours dans la joie et la bonne humeur.
Des questions sur notre Royale Confrérie, mais rien de spécial, surtout quand on répond gentiment que l'on doit travailler pour récolter des fonds pour l'association que nous parrainons.
Nous n'avons pas vu de pierres tombales, mais la bière dégustée se dénommait TOMBALE 9°... à vous faire mourir de délectation.
La semaine prochaine relâche et sorties en confréries.
Edmond KERSTENNE
Responsable des promenades dominicales.
Le 21 JUILLET, pour les promeneurs du dimanche, rien n'était prévu pour cette date : vacances, défilé, lendemain de fête. Cela ne m'a pas interdit
d'aller visiter la ville qui m'accueille depuis le 1er janvier en allant chercher mon pain. Comme le temps invitait les sportifs à se dégourdir les jambes, je me suis dit que
j'allais « un peu voir ». Et j'ai bien vu que les limites de la commune étaient bordées de forêts, de prairies et. d'un calvaire pas piqué des vers. Comme vous le lirez sur la
plaque (Photo de gauche : vous pouvez l'agrandir en cliquant sur la photo), c'était un lieu de pénitence pour les chanoinesses qui devaient pêcher gravement pour se taper une
telle pénitence. Surtout qu'une dame âgée, avec tout le respect que j'ai pour elle, elle peut rester une heure à genoux mais ceux-ci trinquent quand ils montent le calvaire.
Mais récompense je jouis d'un panorama sur la vallée de la Meuse, sur Andenne très apprécié et cela me remet de mes émotions (Photo du centre). Ensuite par les bois j'ai suivi
le chemin jusqu'à un moment où j'ai rencontré un chien, en tête, et son maître tout près d'une autre chapelle datant de 1793 (Photo de droite). Il m'a expliqué que je marchais
dans le sens contraire de la carte, mais têtu comme un Ardennais que je suis, j'ai poursuivi ma route ne craignant rien sauf. qu'arrivé à un carrefour avec quatre chemins
devant moi, j'ai choisi le mauvais. J'ai bien marché, le temps passait, heureusement le soleil luisait. Enfin je me suis retrouvé sur la Chaussée de Ciney et ai pris ce tracé,
là, dans le bon sens, vers Andenne. J'ai marché encore trois kilomètres pour arriver dans le centre d'Andenne et enfin dans mon appartement.
Pas de bière spéciale, mais un litre d'eau, et comme pénitence, les chanoinesses m'ont conseillé de mettre dans la cagnotte, ce que j'ai fait immédiatement.
Conclusion : vous allez chercher un pain à 500 m de chez vous, sans eau, sans bottines spéciales évidemment, sans bâtons, et que vous revenez après avoir parcouru 13 kms ! ! !
Heureusement personne ne m'a accueilli de manière acerbe mais mon lit m'a conseillé de me coucher pour une bonne sieste. Là je rêvais que. je venais de passer trois heures
exceptionnelles dans « la joie et la bonne humeur ».
Edmond KERSTENNE
Responsable promenade dominicale.
Le 7 JUILLET, nos pas, je dirais plutôt nos voitures, nous conduisent à WAVRE. Philippe et Yves trouvent la dernière place de libre dans le parking, de plus tout près de l'accueil.
Gilbert et Brigitte arrivent quelques instants plus tard et sont contraints de se garer plusieurs centaines de mètres plus loin. Vu la distance déjà parcourue par Gilbert nous choisissons tous le parcours de cinq kilomètres.
Nous longeons les terrains du club de tennis "La Raquette". C'est fou comme certaines personnes peuvent être originales ! Les enfants et les chiens s'en donnent à coeur joie. Comme nous n'avons ni l'un ni l'autre nous hâtons le pas.
Attention quand-même de ne pas se tromper de chemin. Surtout qu'une bonne partie du chemin aller coïncide avec le chemin de retour. Le parcours ne s'éloigne pas trop de la ville mais est agréable et verdoyant.
Nous empruntons de tout petits chemins entre les maisons. Attention de ne pas faire de mauvaises rencontres ! Heureusement pour nous, les bandits préfèrent les grands chemins. Bientôt nous rencontrons les premiers arbres qui portent
des fruits. Entre autres un prunier sauvage (photo de gauche), ce qui me rappelle ma jeunesse où j'avais ce genre d'arbres au jardin. Cela nous rassure, il ne fait donc pas que pleuvoir en Belgique.
Nous traversons l'Avenue de l'Aurore. Et comme la réalité dépasse la fiction, un peu plus loin nous descendons le sentier du crépuscule... qui mène au cimetière. Quelques marcheurs ont fait une halte sur un banc et en profitent pour
boire et manger un peu. Dès fois que ce serait leur dernier repas ! A côté du cimetière un panneau stipule que "les voisins veillent". C'est-à-dire qu'une fois la nuit tombée les cris stridents ou les sorties sont strictement
interdits. Dans le silence mais avec le sourire nous terminons notre promenade.
Un ou deux verres de bière suffisent pour nous refaire une santé. Vite trouver une bonne âme qui veuille bien nous prendre en photo (photo de droite) et se donner rendez-vous pour le prochain épisode de nos aventures.
Par acquit de conscience, tard le soir, je contacte les voisins qui veillent, afin de savoir si tout se passe bien. Minuit, l'heure du crime, un homme couteau à la main... beurre sa tartine. Il n'y a rien d'autre à signaler.
Dormez en paix braves gens.
Yves CATFOLIS.
Responsable adjoint des promenades dominicales.
Le 26 MAI, malgré un samedi où nos marcheurs avaient, soit assisté à un chapitre, soit à une fête de famille, notre président, son épouse, Philippe et moi-même avons pris notre courage à deux mains.
Le couple présidentiel a choisi les 10 kms tandis que les deux célibataires se lançaient sur l'itinéraire du 5 kms. Nous avions la chance d'avoir un temps pas trop chaud, au départ, mais où finalement il faisait bon.
Un peu de vent rafraîchissait les visages et tout doucement nos organismes se purifiaient au contact du chant des oiseaux, de belles bâtisses, des animaux dans les prés qui nous regardaient passer tout en mâchant une herbe
sentant bon le printemps.
Philippe, par distraction, crût voir son château de campagne (Photo ci-dessous) mais n'osa pas passer sous le porche d'entrée. Finalement, nous revenions vers la caserne de Beauvechain mais aucun bruit d'avions n'était venu troubler
le calme d'une matinée vraiment relaxante. Ce furent des parcours aisés, peu de côtes (heureusement !), de bons chemins sans cailloux (heureusement !) et in fine, au retour, de fraîches Leffe (heureusement !).
Nous avions voulu croquer un pain saucisse mais le stock était déjà épuisé. Retour chez soi, où de toute façon, nous avions le dernier match de championnat, le Tour d'Italie et le grand prix de formule 1 pour occuper le restant de la
journée. Il faut signaler que Brigitte et Gilbert devaient nous accompagner, mais le matin, ils se sont excusés pour leur absence.
Voilà comment éliminer les restants de chapitre ou soirée, naturellement, dans la Joie et la Bonne Humeur.
Edmond KERSTENNE
Responsable des promenades dominicales.
Le 21 MAI, c'est à Philippeville que je me suis promené. Pourquoi ? Tout simplement parce que je revenais d'une magnifique journée de chapitre de la Confrérie de la Soupe du Bouffon de Saint-Quentin,
une assistance de 20.000 personnes qui nous ont fait une ovation comme aux autres participants. J'avais quand même décidé de marcher 5 kms avec ma fille et j'ai réussi. Nous avons démarré pour parcourir les 5 kms, qui en étaient
en fait 6,7 kms, autour de Philippeville. Il faisait bon, pas trop chaud et la nature splendide. J'ai d'ailleurs photographié un arbre avec des branches jaunes magnifique, mais dont je ne connais pas le nom (Photo de gauche).
Chemin bétonné, sans boue et à travers la campagne de cette belle ville qui possède un passé historique. Nous avons terminé vers 12h45 et avons dégusté un excellent pain-saucisse, accompagné d'une traditionnelle Chimay Dorée
bien fraîche. Nous étions dans la cour du Commissariat de Police, dont les membres organisaient cette marche pour leurs oeuvres.
Le soleil nous a bien réchauffé alors que j'avais quitté deux heures plus tôt la France sous un léger brouillard.
Mon arrière-petit-fils, Octave, nous a rejoint accompagné de ses parents, et il vous remet son bonjour désintéressé (Photo de droite).
Vers 15 heures je rentrais chez moi heureux de ces deux jours passés dans un climat de franche camaraderie, surtout que les Blancs Moussis de Stavelot, et leur fanfare, participaient également au cortège de Saint-Quentin et avec eux,
croyez que nous n'avons pas eu soif. Bref c'est heureux de cette belle journée mais fatigué, que je vais me mettre au lit, car à mon âge, je me dois de récupérer de mes efforts.
Edmond KERSTENNE
Responsable des promenades dominicales.
Le 12 MAI, le tableau des propositions de promenade indiquait la commune de Waterloo comme destination.
En cette journée de la fête des mères, les 50 ans de la victoire de ABBA à l'Eurovision, l'endroit était bien choisi. Finalement, après ne pas avoir marché le 9 mai, et les divers empêchements reçus, il ne restait qu'un marcheur
candidat. J'ai donc choisi de me rendre à Flémalle au hameau de SOUXHON, lieu le plus proche de mon domicile. Le soleil luisait, aucun obstacle majeur à me rendre au lieu de départ.
Je connaissais Flémalle mais pas ce village du XVème siècle, assez typique, situé sur les hauteurs d'où la vue sur la vallée de la Meuse est splendide. On n'est pas loin du bassin sidérurgique liégeois, et ce village possède de
nombreuses maisons datant des belles années prospères de Cockerill-Ougrée notamment mais qui a sombré lentement mais sûrement.
Mais pour trouver le lieu de départ, mon GPS ne semble pas bien connaître l'endroit et je dois tourner dans ce village en questionnant deux personnes qui, enfin, me mettent sur le bon chemin.
Arrivé à l'endroit, un membre du comité organisateur m'autorise à descendre au parking et je m'aperçois que je suis le dernier à pouvoir bénéficier d'un emplacement. Je choisis les 5 kms car je me doute bien que j'aurai, au moins
une côte à gravir, à coup sûr. Le démarrage est correct et après 100 m je suis la flèche qui m'indique la gauche et j'arrive au pied d'une rue en pente. Je m'y engage et je monte, je monte, mais habitué à ces marches, donc à voir des
promeneurs comme soeur Anne je ne vois personne devant moi, ni derrière moi. Cette montée annonçait 2 kms et au sommet, je retrouvais les marcheurs des autres distances. Je n'étais pas perdu, mais je devais prendre un petit chemin,
flèché, que je n'avais pas vu à cause d un véhicule brièvement stationné. Accompagné d'autres marcheurs, j'ai parcouru des rues sentant bon le printemps (photo ci-dessous) dans des quartiers très agréables.
Evidemment j'y ai bu ma Leffe habituelle et fait connaissance d'un couple flémallois avec qui j'ai sympathisé et finalement dîné avec eux. Menu deux boulets à la liégeoise faits main et des frites patates fraîches délicieuses.
Une belle balade donc, mais où des malveillants voisins se sont amusés à arracher les flèches, gênés par le passage de personnes qui viennent marcher le long de leur clôture de 3 m de haut, pour prendre l'air et soutenir le gentil
comité des fêtes de SOUXHON.
Edmond KERSTENNE
Responsable des promenades dominicales.
Le 5 MAI, c'est à ANDERLECHT que nous nous retrouvons Philippe, Yves et moi-même pour une balade dans les alentours du magnifique domaine de Neerpede. D'abord je pars tôt car l'autoroute E42 est perturbée
par deux accidents. Mes deux confrères s'amènent en transport en commun. Philippe arrive à l'heure et par téléphone, inquiet, ramène Yves à la réalité lui qui s'en allait dans le sens opposé.
Notre parcours, malheureusement était handicapé par une signalisation abimée par des mauvais plaisants, et heureusement que nous avions un plan et que nous connaissions déjà l'endroit. Nous sommes passés devant le Bela Vita,
le restaurant où nous avions organisé notre chapitre il y a deux ans. Le temps était beau et annonçait une belle matinée. En effet, après les 5,8 kilomètres, nous nous sommes changés en ôtant le T-Shirt jaune pour notre Polo
rouge.
Nous avions une idée derrière la tête : aller dire bonjour à nos amis des Brasseurs et Distillateurs de Wallonie présents avec deux confrères et une consoeur pour tenir leur stand à la fête du quartier de l'Avenue de
Tervuren-Montgomery. Promenade, d'abord souterraine en métro, arrêt devant la statue du Vicomte Montgomery d'Alamein qui donne l'impression de surveiller les divers membres des partis politiques en T-shirts, portant pancartes
ou autres logos politiques, qui déambulent sur les lieux.
Nous avons soif et Jean-Claude et Michel nous accueillent et nous y dégustons une Val Dieu. Brasserie que nous visiterons le 25 août prochain. Nous avons faim, et après un petit tour de reconnaissance, une immense poêle de paëlla
nous sourit et Philippe et moi-même en dégustons une bonne portion, tandis que Yves se contentait d'un pain-saucisse. Le tout accompagné par une sangria très bonne mais la nôtre est quand même meilleure.
Retour chez nos confrères pour prendre le digestif de houblon. On se sépare après avoir pris une tasse de café à la terrasse d'une magnifique taverne. Au revoir, et l'aventure se termine là.
A noter que le chapitre des Distillateurs et Maîtres Brasseurs de Wallonie aura lieu le 9 NOVEMBRE 2024 à PROFONDEVILLE et que le Grand Maître Jean-Claude, malgré des problèmes de santé, participait à notre récente balade du 1er Mai.
Edmond KERSTENNE
Responsable des promenades dominicales.
Le 28 AVRIL, c'est à Couthuin, entité de Huy, qu'une balade ADEPS était organisée. Les bénéfices allaient augmenter les caisses du Télévie local. Comme chez les Chauves on n'était pas très chaud pour faire une promenade,
vu le froid et la pluie de la semaine, j'ai donc participé à cette promenade de 11,7 kms avec dix-sept de mes anciens collègues de travail, retraité(es) également.
Heureusement que nous étions prévenus qu'il risquait d'y avoir de la boue et que le relief n'était pas des plus plats, nous étions tous munis de nos bâtons de marche et ce fut bien nécessaire.
Qu'importe cependant, car nous connaissions l'objectif de cette balade, et nous savions qu'à l'issue de celle-ci, deux beaux boulets à la Liégeoise (220 gr chacun), frites et sauce lapin nous attendaient. Le tout arrosé par une
spéciale "Bière l'Etape". Cet excellent repas s'est clôturé par un morceau de tarte et un café.
Vers 15 heures nous reprenions le chemin de notre domicile, heureux de s'être retrouvés une nouvelle fois en bonne forme.
A souligner que ma tenue de Chauve fut admirée et même que je fus questionné sur la confrérie. Heureusement que les 930 personnes présentes se sont étalées sur toute la journée. Content d'être rentré après ces efforts nécessaires
pour m'entraîner pour notre balade du 1er MAI.
Edmond KERSTENNE
Responsable des promenades dominicales.
Le 21 AVRIL, nous sommes quatre (Sophie, Jean-Louis, Gilbert et Yves) pour nous rendre à JOGOIGNE. Nous pensions être en territoire connu, hélas cela ne semble pas être le cas.
La rue où l'évènement est supposé avoir lieu est interdite à la circulation, complètement ouverte pour cause de travaux. Nous suivons les méandres d'un bâtiment que nous croyons être le bon et arrivons enfin à l'accueil.
Tout cela semble bien petit et effectivement nous rencontrerons peu de monde ce jour-là. Nous nous rendons compte que les habitués de l'endroit arrivent par une autre entrée bien plus agréable et bien plus facile. Fallait le savoir ! Fallait surtout nous le dire !
Nous empruntons de petits chemins. Nous montons une colline assez raide au sommet de laquelle nous sommes accueillis par des vaches qui nous prient de ne pas jeter nos détritus dans la nature comme le feraient des cochons !
Nous arrivons dans la campagne. La vue vaut le détour mais les chemins sont glissants. Malheur à ceux qui n'ont pas pensé à emporter leurs bâtons de marche ou dont les bâtons sont trop courts. Nous avançons prudemment tout en
regardant en même temps le chemin et la nature dans toute sa splendeur. Un peu plus loin c'est carrément la mare aux canards. Eau et boue sur toute la largeur du chemin. La prochaine fois nous emporterons un canot pneumatique !
Pour l'instant nous ramons. Peu importe, nous continuons et arrivons bientôt au bout de notre parcours. Par un chemin praticable cette fois.
Comme nous avions tous choisi de ne marcher que cinq kilomètres, nous restons un bon moment à la plaine de jeu. Le petit train, la petite maison (attention de pouvoir en ressortir quand on mesure 1m85) et autres attractions attirent
toute notre attention. A tout âge, l'homme reste un grand enfant. J'ai bien dit l'homme car Sophie se contente de prendre des photos, pas toujours facile avec le soleil dans les yeux. Ensuite une soupe ou une bonne bière.
Enfin nous redevenons adultes. Ce n'est pas trop tôt.
Le retour s'effectue sans encombre. Nous passons toute la journée du lundi à nettoyer nos chaussures ! ! !
Yves CATFOLIS.
Responsable adjoint des promenades dominicales.
Le 14 AVRIL, nous étions 9, enfin 8 bipèdes et 1 chien. Il y avait risque de forte pluie. Aussi en voyant l'échoppe de notre vieille connaissance, le marchand de fromage, Philippe et Yves ont immédiatement
achetés des oeufs et se sont empressés de les faire parvenir aux Soeurs Clarisses pour conjurer le mauvais sort. Et cela a fonctionné ! Comme quoi il est permis de croire aux miracles.
Jean-Louis et Yves choisissent le parcours de dix kilomètres, les 16 autres pattes (12 des bipèdes et 4 du chien) celui de cinq kilomètres. Le tracé est presque sec tant que nous nous n'atteignons pas le fond de la vallée.
Nous longeons des courts de tennis et des manèges. Comme quoi en Belgique il n'y a pas que de la pluie mais aussi des idées et de l'argent.
Quand nous nous dirigeons vers le fond de la vallée, l'eau stagne et nous affrontons boue et flaques d'eau. Nous avons de la chance, il y a bien plus de descentes que de montées et puis grâce au programme d'entraînement proposé par
notre ami Edmond, nous avons l'habitude.
Nous marchons à vive allure, encouragés par les chants des oiseaux, aussi bien que les vingt pattes franchissent quasiment en même temps la ligne d'arrivée. Nous reprenons des forces grâce à une bonne bière (deux pour être honnête).
Nous retournons auprès de notre fromager pour lui acheter quelques spécialités (un Falaën, que vous pouvez comparer à un Herve doux, un Val Dieu et un fromage de chèvre de Sainte-Maure de Touraine, clin d'oeil à nos amis français et
à notre Confrère Jean-François en particulier). Cette fois-ci, c'est pour nous faire plaisir.
Hésitants au départ, nous sommes heureux d'avoir pris la bonne décision d'être venu marcher. D'ailleurs qu'attendez-vous pour venir nous rejoindre à une prochaine occasion ?
Vous trouverez le programme sur notre site bien connu. Et dans cinq ou six mois, le beau temps devrait refaire surface en Belgique !
Royales Amitiés.
Yves CATFOLIS.
Responsable adjoint des promenades dominicales.
Le 7 AVRIL, c'est à HANRET (commune d'ÉGHEZÉE) qu'est programmée la promenade dominicale. Malheureusement je suis seul pour marcher mais comme je désire garder la forme, je me décide à m'y rendre.
Je vous épargne la traditionnelle phrase vous disant qu'à 10 heures il y avait beaucoup de monde. Ce village où je ne m'étais plus rendu depuis des années, a beaucoup évolué, en constructions, en propreté surtout que les températures
douces m'amenaient à la décontraction. Pour rejoindre le lieu de départ, je dois emprunter le pont qui surplombe le Ruisseau de la Batterie (Photo 1), très propre et qui déambule protégé par deux rangées d'arbres. Le lieu de
rendez-vous se situe à l'école communale à côté de l'Eglise Saint-Remy d'Hanret (Photo 2). Celle-ci fut construite entre 1760 et 1766 et agrandie en 1846. Elle est d'inspiration classique en brique et pierre bleue.
Il est temps que j'aille prendre mon plan et je me lance pour les 5 kms par monts et par vaux. Je passe devant la petite académie d'Hanret qui abritait autrefois l'école du village, construite en 1905. Après des travaux, elle
accueille les ensembles vocaux, instrumentaux et théâtraux de l'Académie d'Éghezée. Par de petits chemins, à peine visibles (heureusement qu'il y a le fléchage) mais très pittoresques je découvre un patelin où on construit de
belles maisons, de beaux jardins regorgent de tulipes, et les arbres fruitiers sont en fleurs (Photo 3).
Je terminerai par l'étymologie de HANRET (HAN signifie trou et RESCH noir en celtique). La rue de Montigny portait le nom de "Rue de Noir Trou" avant la fusion des communes en 1977. Cette origine pourrait témoigner de l'ancienneté
de son histoire : on y a, en effet, découvert les vestiges des fondations d'une villa romaine (un domaine agricole à l'époque) mais aussi une hache en silex poli qui remonte à 3.000 ans.
Après une heure de marche, toutes ces découvertes m'avaient donné soif et donc j'ai dégusté une bière fabriquée, dans une microbrasserie à Leuze-Longchamps (Photo 4). Une seule a épanché ma soif, son degré étant suffisant.
Ainsi se terminait une belle matinée.
Edmond KERSTENNE
Responsable des promenades dominicales.
Le 31 MARS, en ce jour de Pâques, nous étions quand même cinq présents : Brigitte, Gilbert, Dirk, Philippe et moi-même. Accès facile et à l'heure malgré le passage à l'heure d'été et nous démarrons pour les
5 kms vers 10h00. Malgré une météo défaitiste, nous sommes bien habillés pour affronter les prévisions de pluie et nuages. Nous quittons l'école Singelijn pour rejoindre le sentier longeant d'un côté la Woluwe et de l'autre le
Boulevard de la Woluwe. Nous traversons en face du Kwak, bien connu par nos marcheurs, et persévérons sur le même chemin. Le Moulin de Lindekemale, restaurant d'excellente réputation, semble très triste depuis sa fermeture,
commerce à remettre, la roue du moulin recouvert d'une mousse verte. Triste mais espérons qu'un repreneur ne tarde pas trop pour relancer ce typique établissement.
Nous arrivons au premier grand étang, au Parc Malou, et dont le château veille sur les divers volatiles et promeneurs qui passent à ses pieds (Photo de gauche). Le sol est assez boueux à cet endroit, mais les jeunes canards
commencent à s'ébattre dans l'eau. Nous arrivons à un chemin qui nous fait prendre à droite, dans la commune de Woluwe-Saint-Pierre où nous entrons dans un dédale de petits chemins, qui nous mèneront finalement à la maison-château
située dans le parc Crousse. A cet endroit, nous avons eu plusieurs fois l'occasion d'assister au repas "huîtres" organisé par le Lions Atomium dirigé par André GENART qui fut intronisé dans notre confrérie (Photo du centre).
L'intérieur de cette bâtisse nous offrait la vue de meubles anciens, du 16ème siècle, de vieux objets qui apportaient calme et solennité. Auparavant, nous avions longé le stade Fallon et tous ses terrains pour exercer le football,
le hockey, le base-ball, la basket etc...
Comme nous ne voyons aucun adversaire à affronter, nous passons notre chemin pour remonter vers l'Avenue Jean-François Debecker et ensuite prendre une route pavée, l'avenue de la Chapelle qui nous conduira à celle-ci : son nom :
"Chapelle de Marie la Misérable". Cette dénomination nous interpelle un peu mais trêve de discussions, les gosiers deviennent secs car nous avons chaud et il est temps d'assouvir notre soif.
Après 6,2 kms, nous arrivons à destination et à l'unanimité nous prenons la bière dénommée la "ZOEVEL" ambrée, bière belge artisanale et biologique fabriquée par la brasserie de la Lesse.
Comme Philippe veut fêter les cloches, il offre une seconde tournée du même cru (Photo de droite). Et à 12h30 nous regagnions nos habitations, en espérant se revoir bientôt.
Belle promenade, réserve d'air pur et de... houblon. Je vous attends la semaine prochaine : les informations suivront.
Edmond KERSTENNE
Responsable des promenades dominicales.
Le 24 MARS, nous devions normalement faire une promenade à Nil Saint Vincent, mais chapitres obligent, j'étais seul à marcher. Qu'importe, Villers-le-Bouillet, à 20 minutes de chez moi, voyait son école Saint Martin organiser
une marche et j'y suis allé. Je pénètre dans de très beaux locaux et me fais remettre les 5 kms et mon cachet sur le carnet de route. Le temps est venteux, frais, parfois une goutte mais un chauve n'a peur de rien dans ce genre.
Je déambule dans quelques routes de la commune mais je dois faire attention aux flèches du parcours car, très intelligemment les organisateurs ont tracé un parcours 5 kms poussette ou... bois. De toute façon je me vois obligé de
respecter ma vitesse car nos batraciens doivent traverser la route pour mettre au monde les oeufs (Photo de gauche). Direction la traversée, en descente, du bois de Champia. A peine pénétré, je remarque que je suis heureux d'avoir
mis mes grosses bottines avec de bonnes semelles car le chemin, suite aux intempéries, me fait penser à un parcours commando où l'adjudant à moustache nous faisait ramper (Photo du centre).
Arrivé au pied, croyez-vous que les problèmes soient résolus ? Que Nenni ! Un petit ruisseau, normalement charmant, s'est étalé sur à peu près 2 m de large donc c'est un gué mais pas gai du tout. Après la traversée prudente,
souliers noy s, j en sors et prends le chemin du retour en remontant le parc de la Burdinale-Mehaigne, face au vent, soleil dans le dos. Conséquence : arrivé sur le plateau j'étais plus ou moins sec des pieds mais aussi de la gorge.
Je suis revenu par la rue "mabiet... ", ne le prenez pas mal, et j'ai regagné l'école avec plaisir.
Directement, j'ai écrit mon commentaire dans "le livre d'or" et terminé par une bière plus ou moins locale intitulée "La Crapule" (Photo de droite). Outre mon rappel de l'armée, j'ai revu aussi le jargon d 'étudiant. En rentrant dans
ma voiture il grêlait et, heureux, j'ai salué de loin ces dernières giboulées, heureux de ma matinée.
Edmond KERSTENNE
Responsable des promenades dominicales.
Le 17 MARS, c'est à HÉRON que nous avions programmé une promenade dominicale. Vu les chapitres, les congés ou autres occupations, nous savions que nous ne serions que deux : Philippe et moi-même.
Vers 9h45 nous sommes à l'accueil malgré les prévisions négatives de la météo, nous n'avons jamais connu le ciel gris et encore moins la pluie. Un grand nombre de marcheurs s'inscrivaient à la réception de l'ADEPS située dans la
belle et spacieuse école du village. L'église, vu son imposante construction, semblait surveiller tous les arrivants et voir si tout se passait bien (Photo de gauche).
Nous commencions par une côte douce sur la route principale, mais cela ne nous empêchait pas de discuter. Et tout en discutant, nous avons entendu crier à plusieurs reprises "Monsieur ! Monsieur !". Finalement on s'est arrêté et
en nous retournant on croisa le regard d'un marcheur qui nous signalait que nous avions oublié de prendre un petit chemin de campagne sur notre droite. Comme quoi, il faut toujours être très vigilant. En prenant cet étroit passage,
nous avancions, à l'orée d'un bois vers les immenses campagnes et un sommet dont nous avions une magnifique vue aussi bien vers Namur que vers Huy et Tihange où nous distinguions les fumées des grosses cheminées (Photo de droite).
Retour dans le centre du patelin pour arriver, à notre parking où nous changions de souliers pour être présentable. Le K-Way rouge que nous avions gardé a fait son effet et de plus en plus le bouche à oreille va informer qu'une
Royale Confrérie des Chauves existe en Belgique. Evidemment nous avons pris notre boisson traditionnelle, une Leffe pour Philippe et pour moi une Houppe. Après avoir discuté un peu avec les personnes qui nous questionnaient,
nous prenions le chemin du retour vers 12h00 pour aller manger à Éghezée au "Cheval Blanc", une excellente salade composée de produits locaux comme le foie gras, le canard confit accompagnés d'un verre de Chardonnay.
Conclusion : la semaine prochaine nous irons à Nil-Saint-Vincent (voir adresse ci-dessus). On prévoit les giboulées mais... toujours le Chauve sourit et j'espère que nous serons quelques-uns.
Encore une belle matinée dominicale à marquer d'une pierre blanche... comme d'habitude dans la joie et la bonne humeur.
Edmond KERSTENNE
Responsable des promenades dominicales.
Le 10 MARS, nous nous étions donnés rendez-vous au Bois des Rêves à Ottignies-Louvain-La-Neuve. Après avoir cherché une place de parking, tant il y avait des marcheurs, nous nous retrouvons à l'accueil
vers 10h10 pour démarrer nos 5 kms (distance choisie).
Après un démarrage facile, notre parcours nous conduit au pied d'une montée assez difficile mais qui nous fait découvrir de beaux paysages (Photo de gauche). Il ne pleut pas et nous devisons gentiment, sérieusement pour vaincre cette
difficulté. Enfin cette épreuve se termine par une descente assez ennuyeuse vu que les racines dépassent du sol et nous n'avons pas envie d'utiliser une ambulance pour rentrer chez nous.
Arrivés sur le plat, nous empruntons un pont pour éviter le ruisseau qui coule allègrement et nous constatons que déjà, à 11 jours du printemps, certains arbres fleurissent (Photo du droite). Nous suivons le chemin qui longe le
parcours "Vita" dont les éléments semblent peu utilisables. Mais qu'importe, nous n'avons qu'une idée, comme d'habitude, c'est terminer agréablement à la cafétéria où nous avons le choix dans une panoplie de sortes de bières
bien de chez nous. Nous jetons notre dévolu sur une "Triple Saint-Hubert", bien fraîche, qui nous remet d'aplomb.
Ce sont nos marcheurs Gilbert et Brigitte qui insistent pour offrir une tournée. Un grand merci à eux. Comme on ne marche jamais sur une seule jambe et qu'on est très bien, surtout que beaucoup de personnes nous posent des questions
sur notre confrérie, on reprend une seconde tournée offerte par votre scribe à l'occasion de son anniversaire, fêté très gentiment par ses quatre amis marcheurs (Photo du dessous).
Conclusion : nous étions heureux de nous retrouver, nous avons mis nos cartes ADEPS en ordre niveau assurances, nous avons été positivement remarqués par des voisins de table. J'en profite pour remercier mes quatre amis qui ne sont
pas gênés de m'accueillir en chantant en public "Happy Birthday". Quel agréable souvenir de cette matinée.
Edmond KERSTENNE
Responsable des promenades dominicales.
Le 25 FÉVRIER, nous nous étions donnés rendez-vous à Céroux-Mousty. Malgré un temps de chien fin de semaine et une pluie battante sur l'autoroute le matin, nous étions au départ dès 10 heures pour les 5 ou
10 kms. L'épreuve aurait pu être une promenade dite "cross-country", vu que dès le début du parcours, après quelques centaines de mètres, nous devions descendre une pente dans les bois et la boue y régnait en maître.
Jean-Louis et Sophie, devant s'entraîner pour la marche de Saint-Jacques-de-Compostelle, choisissaient les 10 kms tandis que les trois autres empruntaient, prudemment, le parcours des 5 kms.
Une foule nombreuse, parking sur la place très difficile et très boueux mais qu'importe, empruntait cette fameuse descente. Mais les personnes âgées, sans bâtons de marche, téméraires, et même en sandales d'un blanc immaculé au début
de la pente, ont risqué la chute, les dérapages "incontrôlés": bref marche : "non", cross : "oui" !. Heureusement nous avons traversé de beaux coins silvestres, campagnards, pour arriver à une maison, plutôt un château
"Rue Bois des Conins" (photo de gauche) au pied d'une longue côte (forcément après une descente il faut remonter). Chacun à son rythme, en admirant les jeunes bourgeons, des arbres en fleurs, nous revenions au lieu de départ : la salle
où nous avons assisté à de nombreux chapitres. Après une grosse demi-heure d'attente, le temps de boire une Rochefort, nous avons appelé notre président qui, normalement, aurait déjà dû atteindre le lieu de dégustation.
Il s'était pris le pied dans une racine et avait chuté, pas gravement physiquement mais son beau K-Way rouge vif avait la couleur d'une personne qui sort d'une mine de charbon. Bref nous sommes tous rentrés à bon port, la Rochefort
accompagnée de saucisson fumé, de fromages, auront tôt fait de nous requinquer. La salle était pleine (photo de droite).
Conclusion, qu'il vente, qu'il pleuve, qu'il neige, que ce soit boueux, le Chauve sourit face à l'adversité proposée par la nature. Mais quel bol d'air pur et pas de trottinettes !!!
On se retrouve à Saint-Gilles la semaine prochaine.
Edmond KERSTENNE
Responsable des promenades dominicales.
Le 4 FÉVRIER, Philippe et Yves se sont dirigés vers TUBIZE pour perpétuer la tradition de la promenade dominicale des Chauves.
Le poète avait demandé "TUBIZE or not TUBIZE" ? Nous avons répondu TUBIZE, why not ! Réponse moins évidente qu'il n'y paraît, la pluie et la grisaille nous avaient accompagnés les jours précédents et l'avenir n'annonçait pas
grand-chose de mieux. Arrivés sur place nous devons constater que peu de promeneurs ont répondu à l'appel. N'importe, nous nous mettons en route en scrutant le ciel.
Nous avons choisi le parcours de cinq kilomètres en espérant être rentrés avant que la pluie ne nous tombe dessus.
La promenade commence en ville. Nous remarquons le grand nombre de salons de coiffure. Cela ne nous servira à rien, qu'il pleuve ou qu'il vente, un chauve n'est jamais décoiffé. Ne nous laissons pas distraire, il y a lieu de suivre
attentivement le fléchage. En effet, arrivés au chemin de fer nous bifurquons à gauche et longeons des jardins pour ensuite nous lancer dans la nature. Nous suivons les méandres de la Senne et de ses affluents, petits cours d'eau
au débit souvent important.
Grâce à notre K-Way rouge nous ne passons pas inaperçus. Quelques jolies dames nous adressent la parole et souhaitent nous prendre en photo. Une photo de notre K-Way, pas nécessairement de nous, hélas comme disait Ménélas.
Le terrain est bien humide mais le ciel reste serein. Il ne fait pas froid, il fait bon respirer l'air pur de la campagne et le paysage est agréable. En guise d'animaux nous remarquons surtout les nombreuses traces laissées par les
taupes. Nous marchons à un rythme soutenu, peut-être un peu trop soutenu pour certains, et nous regagnons bientôt les rues de la ville pour ensuite rallier l'arrivée, l'âme en paix.
La question se pose : "Two beers or not two beers". La réponse est spontanée et sans appel : "two beers, yes we can" !
Finalement le temps nous a été favorable et nous ne regrettons nullement d'avoir répondu par l'affirmative aux questions qui nous ont été posées, surtout à la deuxième.
TO BE CONTINUED. SEE YOU NEXT TIME.
Royales Amitiés.
Yves CATFOLIS.
Responsable Adjoint des promenades dominicales.
Le 28 JANVIER, lendemain du 5ème chapitre de l'Ordre de Gambrinus, une promenade à FLOREFFE était programmée. Nous étions sept chauves à cette manifestation, mais personne, en se quittant, ne semblait volontaire
pour marcher le lendemain. Notre marcheur émérite, notre président et son épouse Sophie, ont tout de même décidé de se rendre au départ de cette randonnée où, évidemment... aucun autre marcheur ou même "apérotiste" n'était présent.
Le temps n'était pas terrible mais les 10 kms ne les gênaient nullement et durant une grosse heure ils eurent le plaisir, par monts et par vaux, de découvrir un coin sympathique le tout protégé par une abbaye dont la réputation n'est
plus à faire.
Leur mission terminée, les effluves de la veille s'étant évaporées, ils terminèrent en dégustant une excellente soupe aux oignons, qui les revigorèrent. Evidemment des bonnes tartines au choix firent partie de leurs
"agapes dominicales", le tout arrosé du divin nectar brassé à l'abbaye du patelin. L'âme en paix ils regagnèrent leurs pénates et ne regrettèrent pas leur effort. Leur conscience était tranquille et leur estomac également.
Edmond KERSTENNE
Responsable des promenades dominicales.
Le 21 JANVIER, c'est à WAYS dans l'entité de GENAPPE que nous avons décidé de nous promener. Nous avons bravé le froid piquant, surtout le vent venant du sud qui soulevait de fins nuages de neige.
Heureusement nous étions bien équipés et Philippe avait une paire de chaussures adéquates. Nous étions à l'heure à l'accueil, nous avons acheté les timbres ADEPS, gage d'assurance en cas de problème médical ou d'accident.
Décision collégiale, nous portons notre choix sur les 5 kms qui en fin de parcours s'élèveront à 6 kms 200. Evidemment par -3°, le système métrique était sans doute gelé mais qu'importe, la promenade le long de chemins d'une campagne
immaculée de neige nous a fait un bien fou. Dès la fin du premier tronçon nous arrivions à une ferme château mais malheureusement nous ne connaissions pas sa dénomination (Photo de gauche). Nous devions faire très attention, vu que le
sol était neigeux, verglacé, des pavés présentaient un relief pas toujours stable et enfin lors d'une petite descente, le chemin était "à pic", l'occasion de bien calculer son itinéraire pour ne pas s'étaler.
Après être passé sous le RAVEL, par un tunnel où l'on découvrait un peu de boue (le dégel commençait) nous sommes arrivés à un endroit que, vu la photo (Photo centrale), nous l'avons baptisé le PONT DE LA RIVIÈRE "DYLE" ! Mais pas de
David NIVEN mais trois chauves et une épouse courageuse.
Enfin le retour : arrivés sur la route normale, nous fûmes impressionnés par le nombre de voitures et le monde qui occupait la buvette. Car après une gymnastique dangereuse, les survivants devaient se remettre d'aplomb dans le
réfectoire de cette magnifique école primaire.
Evidemment, que boire à GENAPPE, sinon la Blonde du Lothier, dans les verres assortis, et que propose la Confrérie locale. Les trois chauves n'hésitèrent pas à boire un demi litre de ce divin breuvage, tandis que Sophie, sage et
prudente dégustait un verre d'eau plate le tout accompagné de deux raviers de cubes de fromages, de morceaux de saucissons et des olives. Le couple présidentiel a accepté qu'on les photographie derrière ces produits, délicieux et
que lors du chapitre du Lothier en septembre, vous pourrez déguster (Photo de droite).
En conclusion, ce fut un très beau moment dans un beau décor et dans des locaux très avenants. Bravo pour cette journée.
Edmond KERSTENNE
Responsable des promenades dominicales.
Le 14 JANVIER, le froid n'a tracassé aucunement les marcheurs habituels (en attendant d'autres) qui reprennent leur équipement un petit peu diversifié. Nous nous retrouvons à LONZÉE toujours à la même heure,
notre président revêtu de sa casquette et du K-way "Chauves" qui s'avèrera très pratique par ce temps froid. Yves a du jaune sous son anorak, Philippe aussi camoufle un échantillon de costume mais oublie que c'est une marche et
il avalera les kilomètres en mocassin brillant.
Edmond n'a pas encore vidé toutes les caisses de déménagement et revêtira une tenue "civile" inédite. N'oublions pas Sophie qui elle ne fait pas de fioriture mais émet le souhait que les compagnes ou épouses puissent aussi acheter
un K-way.
Nous nous partageons en deux groupes, Jean-Louis et son épouse Sophie opteront pour les 10 kms qui s'avèreront plutôt 12,500 kms. Les trois chauves devant accompagner une âme soeur s'engagent sur la distance des 5 kms qui deviendront
6 kms 300. Peu importe, si nous sommes en plein air, vent légèrement piquant au milieu des chemins de campagne, notre couple "présidentiel" aura le bonheur de traverser des forêts. Vous verrez sur les deux photos l'ancienne Abbaye
Cistercienne d'ARGENTON fondée en 1229. Abandonnée par la communauté religieuse, ce bien est actuellement propriété d'un cultivateur qui exploite les terres autour de cette bâtisse.
Yves et Philippe, ne croyez pas qu'ils vont rentrer dans les ordres ou prendre possession de cette exploitation, car sous le porche ils lisent l'écriteau "Entrée interdite". Nous regagnons prudemment la salle d'accueil et nous
y dégustons une TRIPAN, bière tout à fait locale, brassée à quelques encablures de l'école et servie avec amour par son brasseur-créateur.
Nous attendons patiemment notre président qui essaye, en vain, de nous sonner, vu son retard, mais le réseau est très faible. Pour se faire pardonner, non seulement il nous offre une tournée de TRIPAN mais participe à la cagnotte.
Dernier fait : nous devions aller à THOREMBAIS LES BÉGUINES, mais jeudi, cette promenade était annulée.
Conclusion : il faut bien choisir la destination, vérifier s'il n'y a pas de remise de promenade et goûter les produits locaux.
L'ambiance, nous l'avons trouvée sympathique. Des jeunes enfants aidaient leurs parents à ramasser des verres vides, ensuite revenaient pour nous vendre des pots de miel pour disposer de l'argent de poche pour aller en classe de neige.
Nous leur souhaitons bonne glisse, et surtout pas de chutes, pas de glissades mais un bol d'air extraordinaire.
Vous êtes tous et toutes les bienvenus ainsi que vos parents, amis, collègues. A la semaine prochaine.
Edmond KERSTENNE
Responsable des promenades dominicales.
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