| Nos balades dominicales
En guise de préambule : Nous n’organiserons toujours que DEUX PROMENADES par mois et cela, EN FONCTION DES CHAPITRES PRÉVUS. PRIORITÉ AUX CHAPITRES !!!
Lors de notre dernière assemblée générale du 20 Février dernier, j’ai interrogé les "promeneurs" présents pour leur proposer une modification dans l’organisation de ces promenades. Ayant reçu leur consentement, dorénavant,
nous procéderons de la sorte. Nos "promeneurs" s’affilieront à l’ADEPS en prenant une carte de membre valable 5 ans, sur laquelle on colle un timbre annuel de 2€ et vous êtes assurés, pour tous les incidents, accidents ou
autres problèmes lors d’une manifestation ADEPS.
Le choix du lieu de la promenade tournera toujours autour d’un rayon de 50 kms, en changeant chaque fois de province : Brabant Wallon, Hainaut Est, Namur, Liège Ouest. Maintenant suite à un motif spécial, nous pouvons nous
rendre dans un autre lieu : comme Bruxelles mais c’est très rare. Responsable du Choix : Edmond.
Nous nous réunirons, toujours au centre d’accueil au départ dénommé "POINT VERT ACCUEIL", et nous aurons le choix de la distance : 5 kms ou 10 kms et les 15kms... !!!
Edmond ou Yves sera là pour vous accueillir et vous expliquer ce qu’il faut faire (si vous ne l’avez jamais expérimenté). Il est préférable que ceux qui font les 10 kms partent avant ceux des 5 kms, pour se retrouver vers 11h45
au point vert accueil d’où vous serez partis. Attention à bien suivre le fléchage : 5 kms suivre couleur BLEUE et 10 kms suivre la couleur JAUNE. Une flèche VERTE veut dire parcours COMMUN.
Enfin, lorsque vous arrivez à un carrefour, si vous voyez une flèche noire avec X dessus, cela veut dire qu’il ne faut pas prendre cette direction.
Autrement dit : la promenade nous permet de discuter ensemble, mais quand vous arrivez à un carrefour soyez attentifs au fléchage. Si vous suivez d’autres marcheurs qui parcourent votre distance, vous pouvez leur demander conseil.
Les flèches sont souvent fixées à 1m80 du sol, soit à un arbre (rouleau plastique), soit collées à un poteau, à une clôture, à un piquet.
Nos accompagnateurs, c’est à dire ceux qui viennent boire l’apéro, auront l’adresse et nous attendrons pour terminer la matinée en beauté. Il y a toujours une bière spéciale du coin. !!!
Nous ferons toujours notre cagnotte et de la sorte, pour votre carte et le timbre à 2 € pour 2024 c’est notre cagnotte qui intervient.
Et comme d’habitude, nous retournerons vers nos pénates une heure après.
Pour que vous soyez membre ADEPS, je m’en occupe et il me faut votre identité : Nom, Prénom, Adresse, Date de Naissance et Adresse Mail.
Vous recevrez cette carte par la poste : et dès que vous viendrez marcher avec nous, la prendre pour la mettre en ordre. Est-ce difficile ?
Conclusions : Ne plus se casser la tête pour choisir un patelin, reconnaître une fois ou deux fois, plus besoin de réserver un bistrot, plus besoin de faire des photos du parcours, aucun risque de se perdre
et vous êtes assurés.
RAPPEL :
Si vous voulez une carte ADEPS, vous m’envoyez vos Nom, Prénom, Adresse complète, date de naissance, téléphone GSM, et adresse mail. Vous recevez quelques jours après votre carte et la première PROMENADE ADEPS que vous faites,
vous y faites coller le timbre 2024 qui vous assure pour un accident ou incident durant la promenade.
Sur le site ADEPS SPORT, vous cliquez et au milieu de la page vous avez tout le programme 2024 des marches classées par province.
Voici le programme des prochaines promenades dominicales :
Pour infos :
Je pense que vous devez vous y prendre au maximum le Vendredi SOIR pour vous inscrire.
Départ en 10 ou 5 kms toujours à 10h00 car il y a l’apéro à 11h45 évidemment.
Bonnes balades et soyez prudents tout en faisant d’éventuelles photos pour les résumés sur le site.
Ci-dessous, un petit compte-rendu de ces marches de la plus récente à la plus ancienne.
2024
Le 11 NOVEMBRE, jour de l’Armistice de 1918, le club de foot de Jehay-Bodegnée organisait une marche ADEPS. Le responsable principal était un pensionné de la banque à laquelle j’appartenais et nous étions en
principe 14 à nous y rendre. J’avais également proposé cette marche à nos promeneurs mais c’est le dimanche matin que la famille ROBYNS annonçait sa participation. Un temps de chien, brouillard, pluie, nous ennuyaient et finalement
nous avons pris le chemin des 10 kms.
Un magnifique parcours nous attendait très plat au début jusqu’au moment où nous entrions dans les bois. Là, oui, il fallait tenir en équilibre entre les arbres qui se dénudaient sans vergogne, feuilles au sol. Celles-ci se mêlaient
avec la terre et donc… une boue bien glissante déroulait son tapis.
Nous étions prévenus, qu'à la fin de la promenade, existait une côte un peu …dure !!! Mais ce que nous ne savions pas qu’elle était précédée de deux autres côtes dans des chemins très étroits, et sur lesquels certain(e)s ont pris un
billet de parterre.
Après deux heures de marche nous terminions notre épreuve digne des jeux olympiques ou de cross-country, heureux, fatigués, mais fiers d’avoir effectué ce deal !!!
Hop, un petit changement de bottines, une ou… deux Tripick, un pain saucisse de derrière les fagots, avec comme dessert un morceau de tarte et vers 14 heures nous regagnions nos pénates.
La photo est prise au sommet d’une des côtes. Qui veut… peut. Mais… pas chaque jour.
Edmond KERSTENNE.
Responsable des promenades dominicales.
Le 1er NOVEMBRE, jour de Toussaint, excepté la visite aux cimetières, rien de prévu. Finalement je me suis senti en forme pour me rendre à MEHAIGNE (entité d’Eghezée) et y faire 7 kms.
Temps gris, frais, sans pluie et une bonne foule de participants. Accueil très sympathique et le comité organisateur a pensé à ajouter sur la carte des 5 kms, un accès pour parcourir 7 kms. Ce que j’ai fait !
Sur cette distance, excepté la traversée d’une route, danger bien indiqué sur le plan, nous avons emprunté des chemins de terre, quelques centaines de mètres en bord de champs et de l’asphalte. Nous avons parcouru un itinéraire
consacré à la naissance de la Mehaigne, au milieu d’arbres perdant leurs feuilles, en bord de champs de maïs, de tournesols, et certains, betteraves arrachées, déjà labourés pour une prochaine culture (photo de gauche).
Dans la forêt, au détour d’un chemin, nous avons traversé un pont enjambant le ruisseau (photo du centre). Vu la qualité du revêtement, beaucoup de poussettes transportant des petits enfants, ne rencontraient aucunes difficultés de marche.
Le retour se fit par un Ravel bien dégagé et, à la buvette, une triple Karmeliet me remit d’aplomb (photo de droite). Même si j’étais seul je me suis très bien amusé et c’est le principal.
Après ces dimanches consacrés aux chapitres, nous reprendrons le cours de cette organisation qui nous permettra d’autres agréables découvertes. Vous serez avertis à temps !
Edmond KERSTENNE.
Responsable des promenades dominicales.
Le 1er SEPTEMBRE, nous avons repris le rythme de nos promenades, et c’est la commune de WATERMAEL-BOITSFORT qui nous attendait. Je pense que nous y participons pour la troisième année consécutive.
Nous étions 8 participants en ayant le plaisir d’accueillir Ingrid MOIMONT de l'Ordre de Gambrinus, qui semble intéressée par cette initiative dominicale comme Dirck de la Confrérie des Compagnons du Witloof.
Après les présentations d’usage, Jean-Louis et Yves ont choisi de parcourir les 10 kms (qui en faisaient 12), Brigitte, Ingrid, Nathalie et Gilbert ont déambulé sur le parcours de 5 kms (presque 6). Et les deux autres ? Pascal et
moi-même sommes restés en terrasse en prenant le verre nécessaire par cette chaleur et en attendant nos amis pour l’apéro avec cagnotte.
Je remercie Nathalie pour les photos reçues et j’en ai choisi 4. Pas d’être humain mais la belle nature, verdoyante, irisée de couleurs vives, et offrant un décor de repos, décontraction et de bien-être.
Comme quoi Bruxelles et les environs possèdent de beaux coins où l’on peut se promener en discutant, en observant.
De retour au point de départ, Gilbert et son épouse ont directement demandé une triple Westmalle, et les autres ont dégusté une Leffe Ruby, une Blanche et autre Coca sans sucre.
Alors que l’on croyait qu’il y avait peu de monde, vers 12h30, une file de marcheurs attendaient patiemment d’être servis tant ils étaient assoiffés. Nous avons surtout discuté des prochaines organisations de notre Royale Confrérie,
en fonction des chapitres dans les confréries gastronomiques belges ou étrangères, en fonction des organisations des confréries ou groupements folkloriques bruxellois qui ne manquent pas.
A 13 heures nous nous quittions.
Veuillez noter que, vu les activités des week-ends des 8, 15 et 22 Septembre, nous avons bloqué la date du 29 SEPTEMBRE 2024 pour laquelle, notre organisateur YVES proposera une balade (hors-ADEPS) à Woluwe-Saint-Lambert.
Dans le courant du mois vous recevrez l’invitation avec les précisions souhaitées. Malgré la chaleur, tous présentaient les symptômes d’une joie liée à leur bonne humeur. Au 29 SEPTEMBRE 2024 !
Edmond KERSTENNE.
Responsable des promenades dominicales.
Le 17 AOÛT, Pascal, son épouse Nathalie et leurs deux filles, Emilie et Margot, Edmond, Philippe et Yves ont décidé de participer à la promenade et au BBQ de la STIB au profit du Télévie.
Les quatre premiers sont arrivés avec une heure d'avance mais ont été forcés de rester à l'extérieur parce que la personne qui détient les clefs arrive bien après l'heure prévue.
Nous attendons encore un bon bout de temps avant que les derniers inscrits à la promenade arrivent. Enfin nous pouvons y aller. Pascal ne vient pas marcher, il tiendra compagnie à Edmond. Celui-ci du haut de ses quatre fois vingt
ans est plus dynamique que jamais. Hélas, comme cela arrive à tous les grands sportifs, il est blessé et les médecins lui ont déconseillé de parcourir de longues distances.
La promenade suit un parcours qui ressemble fort à celui de notre dernière balade du premier mai. Nous prenons directement la rue Joe Van Holsbeeck qui nous mène à proximité de la gare. Nous partons ensuite dans les chemins de
campagne bientôt suivis par les bois. Les fortes pluies des jours précédents rendent le parcours fort boueux. Donc attention de ne pas glisser et pour les petits parmi nous de ne pas se noyer dans les flaques d'eau.
La promenade est cependant fort agréable et se déroule sans les moindres encombres. La nature est belle et tout le monde est heureux.
Sous les commandes de Nathalie et de ses filles qui ont immédiatement pris la tête de la colonne nous atteignons bientôt l'arrivée. Quelques boissons bien choisies nous remettent aussitôt d'aplomb (Photo 1).
Philippe nous quitte retenu par d'autres obligations. Nous attendons encore quelque temps avant que le barbecue ne soit prêt. Celui-ci se révèle de toute bonne qualité (Photo 2). La brochette de bœuf est particulièrement juteuse.
Nous nous délectons.
Quelques instants plus tard nous nous disons au revoir, d'autres activités nous attendent. Nous sommes ravis d'être venus passer quelques heures ici, de plus au profit du Télévie.
Yves CATFOLIS.
Responsable adjoint des promenades dominicales.
Le 28 JUILLET, Yves, Philippe et moi-même nous retrouvons à Longueville entité de Chaumont-Gistoux. Ciel bleu, monde fou, soleil et nous voilà parti pour nos 5 kms.
Tout d’abord nous fréquentons des routes étroites, au milieu de campagnes. Nous profitons de quelques panoramas avant de longer la Ferme du Château d’Arnelle, (Photo de gauche) une résidence qui propose des salles pour des festivités…
comme un chapitre par exemple.
Après les chemins en dur, nous arrivons sur un parcours de sentiers de prairie, par le Hurlan Pré (Photo du centre), d’où l’on distingue dans le fond une chapelle très bien entretenue.
Enfin nous arrivons dans la partie « forêt » par le sentier du Champ de Robles (Photo de droite). Une heure trente de rencontres, toujours dans « la joie et la bonne humeur ».
Des questions sur notre Royale Confrérie, mais rien de spécial, surtout quand on répond gentiment que l’on doit travailler pour récolter des fonds pour l’association que nous parrainons.
Nous n’avons pas vu de pierres tombales, mais la bière dégustée se dénommait TOMBALE 9°… à vous faire mourir de délectation.
La semaine prochaine relâche et sorties en confréries.
Edmond KERSTENNE
Responsable des promenades dominicales.
Le 21 JUILLET, pour les promeneurs du dimanche, rien n’était prévu pour cette date : vacances, défilé, lendemain de fête. Cela ne m’a pas interdit d’aller visiter la ville qui m’accueille depuis le 1er janvier
en allant chercher mon pain. Comme le temps invitait les sportifs à se dégourdir les jambes, je me suis dit que j’allais « un peu voir ». Et j’ai bien vu que les limites de la commune étaient bordées de forêts, de prairies
et… d’un calvaire pas piqué des vers. Comme vous le lirez sur la plaque (Photo de gauche : vous pouvez l'agrandir en cliquant sur la photo), c’était un lieu de pénitence pour les chanoinesses qui devaient pêcher gravement pour se
taper une telle pénitence. Surtout qu’une dame âgée, avec tout le respect que j’ai pour elle, elle peut rester une heure à genoux mais ceux-ci trinquent quand ils montent le calvaire.
Mais récompense je jouis d’un panorama sur la vallée de la Meuse, sur Andenne très apprécié et cela me remet de mes émotions (Photo du centre). Ensuite par les bois j’ai suivi le chemin jusqu’à un moment où j’ai rencontré un chien,
en tête, et son maître tout près d’une autre chapelle datant de 1793 (Photo de droite). Il m’a expliqué que je marchais dans le sens contraire de la carte, mais têtu comme un Ardennais que je suis, j’ai poursuivi ma route ne
craignant rien sauf… qu’arrivé à un carrefour avec quatre chemins devant moi, j’ai choisi le mauvais. J’ai bien marché, le temps passait, heureusement le soleil luisait. Enfin je me suis retrouvé sur la Chaussée de Ciney et ai pris
ce tracé, là, dans le bon sens, vers Andenne. J’ai marché encore trois kilomètres pour arriver dans le centre d’Andenne et enfin dans mon appartement.
Pas de bière spéciale, mais un litre d’eau, et comme pénitence, les chanoinesses m’ont conseillé de mettre dans la cagnotte, ce que j’ai fait immédiatement.
Conclusion : vous allez chercher un pain à 500 m de chez vous, sans eau, sans bottines spéciales évidemment, sans bâtons, et que vous revenez après avoir parcouru 13 kms ! ! !
Heureusement personne ne m’a accueilli de manière acerbe mais mon lit m’a conseillé de me coucher pour une bonne sieste. Là je rêvais que… je venais de passer trois heures exceptionnelles dans « la joie et la bonne humeur ».
Edmond KERSTENNE
Responsable promenade dominicale.
Le 7 JUILLET, nos pas, je dirais plutôt nos voitures, nous conduisent à WAVRE. Philippe et Yves trouvent la dernière place de libre dans le parking, de plus tout près de l'accueil.
Gilbert et Brigitte arrivent quelques instants plus tard et sont contraints de se garer plusieurs centaines de mètres plus loin. Vu la distance déjà parcourue par Gilbert nous choisissons tous le parcours de cinq kilomètres.
Nous longeons les terrains du club de tennis "La Raquette". C'est fou comme certaines personnes peuvent être originales ! Les enfants et les chiens s'en donnent à cœur joie. Comme nous n'avons ni l'un ni l'autre nous hâtons le pas.
Attention quand-même de ne pas se tromper de chemin. Surtout qu'une bonne partie du chemin aller coïncide avec le chemin de retour. Le parcours ne s'éloigne pas trop de la ville mais est agréable et verdoyant.
Nous empruntons de tout petits chemins entre les maisons. Attention de ne pas faire de mauvaises rencontres ! Heureusement pour nous, les bandits préfèrent les grands chemins. Bientôt nous rencontrons les premiers arbres qui portent
des fruits. Entre autres un prunier sauvage (photo de gauche), ce qui me rappelle ma jeunesse où j'avais ce genre d'arbres au jardin. Cela nous rassure, il ne fait donc pas que pleuvoir en Belgique.
Nous traversons l'Avenue de l'Aurore. Et comme la réalité dépasse la fiction, un peu plus loin nous descendons le sentier du crépuscule... qui mène au cimetière. Quelques marcheurs ont fait une halte sur un banc et en profitent pour
boire et manger un peu. Dès fois que ce serait leur dernier repas ! A côté du cimetière un panneau stipule que "les voisins veillent". C'est-à-dire qu'une fois la nuit tombée les cris stridents ou les sorties sont strictement
interdits. Dans le silence mais avec le sourire nous terminons notre promenade.
Un ou deux verres de bière suffisent pour nous refaire une santé. Vite trouver une bonne âme qui veuille bien nous prendre en photo (photo de droite) et se donner rendez-vous pour le prochain épisode de nos aventures.
Par acquit de conscience, tard le soir je contacte les voisins qui veillent, afin de savoir si tout se passe bien. Minuit, l'heure du crime, un homme couteau à la main... beurre sa tartine. Il n'y a rien d'autre à signaler.
Dormez en paix braves gens.
Yves CATFOLIS.
Responsable adjoint des promenades dominicales.
Le 26 MAI, malgré un samedi où nos marcheurs avaient, soit assisté à un chapitre, soit à une fête de famille, notre président, son épouse, Philippe et moi-même avons pris notre courage à deux mains.
Le couple « présidentiel » a choisi les 10 kms tandis que les deux célibataires se lançaient sur l’itinéraire du 5 kms. Nous avions la chance d’avoir un temps pas trop chaud, au départ, mais où finalement il faisait bon.
Un peu de vent rafraîchissait les visages et tout doucement nos organismes se purifiaient au contact du chant des oiseaux, de belles bâtisses, des animaux dans les prés qui nous regardaient passer tout en mâchant une herbe
sentant bon le printemps.
Philippe, par distraction, crût voir son château de campagne (Photo ci-dessous) mais n’osa pas passer sous le porche d’entrée. Finalement, nous revenions vers la caserne de Beauvechain mais aucun bruit d’avions n’était venu troubler
le calme d’une matinée vraiment relaxante. Ce furent des parcours aisés, peu de côtes (heureusement !), de bons chemins sans cailloux (heureusement !) et in fine, au retour, de fraîches Leffe (heureusement !).
Nous avions voulu croquer un pain saucisse mais le stock était déjà épuisé. Retour chez soi, où de toute façon, nous avions le dernier match de championnat, le Tour d’Italie et le grand prix de formule 1 pour occuper le restant de la
journée. Il faut signaler que Brigitte et Gilbert devaient nous accompagner, mais le matin, ils se sont excusés pour leur absence.
Voilà comment éliminer les restants de chapitre ou soirée, naturellement, dans la « Joie et la Bonne Humeur ».
Edmond KERSTENNE
Responsable promenade dominicale.
Le 21 MAI, c’est à Philippeville que je me suis promené. Pourquoi ? Tout simplement parce que je revenais d’une magnifique journée de chapitre de la Confrérie de la Soupe du Bouffon de Saint-Quentin,
une assistance de 20.000 personnes qui nous ont fait une ovation comme aux autres participants. J’avais quand même décidé de marcher 5 kms avec ma fille et j’ai réussi. Nous avons démarré pour parcourir les 5 kms, qui en étaient
en fait 6,7 kms, autour de Philippeville. Il faisait bon, pas trop chaud et la nature splendide. J’ai d’ailleurs photographié un arbre avec des branches jaunes magnifique, mais dont je ne connais pas le nom (Photo de gauche).
Chemin bétonné, sans boue et à travers la campagne de cette belle ville qui possède un passé historique. Nous avons terminé vers 12h45 et avons dégusté un excellent pain-saucisse, accompagné d’une traditionnelle Chimay Dorée
bien fraîche. Nous étions dans la cour du Commissariat de Police, dont les membres organisaient cette marche pour leurs œuvres.
Le soleil nous a bien réchauffé alors que j’avais quitté deux heures plus tôt la France sous un léger brouillard.
Mon arrière-petit-fils, Octave, nous a rejoint accompagné de ses parents, et il vous remet son bonjour désintéressé (Photo de droite).
Vers 15 heures je rentrais chez moi heureux de ces deux jours passés dans un climat de franche camaraderie, surtout que les Blancs Moussis de Stavelot, et leur fanfare, participaient également au cortège de Saint-Quentin et avec eux,
croyez que nous n’avons pas eu soif. Bref c’est heureux de cette belle journée mais fatigué, que je vais me mettre au lit, car à mon âge, je me dois de récupérer de mes efforts.
Edmond KERSTENNE
Responsable promenade dominicale.
Le 12 MAI, le tableau des propositions de promenade indiquait la commune de Waterloo comme destination.
En cette journée de la fête des mères, les 50 ans de la victoire de ABBA à l’Eurovision, l’endroit était bien choisi. Finalement, après ne pas avoir marché le 9 mai, et les divers empêchements reçus, il ne restait qu’un marcheur
candidat. J’ai donc choisi de me rendre à Flemalle au hameau de SOUXHON, lieu le plus proche de mon domicile. Le soleil luisait, aucun obstacle majeur à me rendre au lieu de départ.
Je connaissais Flemalle mais pas ce village du XVème siècle, assez typique, situé sur les hauteurs d’où la vue sur la vallée de la Meuse est splendide. On n’est pas loin du bassin sidérurgique liégeois, et ce village possède de
nombreuses maisons datant des belles années prospères de Cockerill-Ougrée notamment mais qui a sombré lentement mais sûrement.
Mais pour trouver le lieu de départ, mon GPS ne semble pas bien connaître l’endroit et je dois tourner dans ce village en questionnant deux personnes qui, enfin, me mettent sur le bon chemin.
Arrivé à l’endroit, un membre du comité organisateur m’autorise à descendre au parking et je m’aperçois que je suis le dernier à pouvoir bénéficier d’un emplacement. Je choisis les 5 kms car je me doute bien que j’aurai, au moins
une côte à gravir, à coup sûr. Le démarrage est correct et après 100 m je suis la flèche qui m’indique la gauche et j’arrive au pied d’une rue en pente. Je m’y engage et je monte, je monte, mais habitué à ces marches, donc à voir des
promeneurs… comme sœur Anne je ne vois personne devant moi ni derrière moi. Cette montée annonçait 2 kms et au sommet, je retrouvais les marcheurs des autres distances. Je n’étais pas perdu, mais je devais prendre un petit chemin,
fléché, que je n’avais pas vu à cause d’un véhicule brièvement stationné. Accompagné d’autres marcheurs, j’ai parcouru des rues sentant bon le printemps (photo ci-dessous) dans des quartiers très agréables.
Evidemment j’y ai bu ma Leffe habituelle et fait connaissance d’un couple flémallois avec qui j’ai sympathisé et finalement dîné avec eux. Menu deux boulets à la liégeoise… « faits main » et des frites patates fraîches délicieuses.
Une belle balade donc, mais où des malveillants voisins se sont amusés à arracher les flèches, gênés par le passage de personnes qui viennent marcher le long de leur clôture de 3 m de haut, pour prendre l’air et soutenir le gentil
comité des fêtes de SOUXHON.
Edmond KERSTENNE
Responsable promenade dominicale.
Le 5 MAI, c’est à ANDERLECHT que nous nous retrouvons Philippe, Yves et moi-même pour une balade dans les alentours du magnifique domaine de Neerpede. D’abord je pars tôt car l’autoroute E42 est perturbée
par deux accidents. Mes deux confrères s’amènent en transport en commun. Philippe arrive à l’heure et par téléphone, inquiet, ramène Yves à la réalité lui qui s’en allait dans le sens opposé.
Notre parcours, malheureusement était handicapé par une signalisation abimée par des mauvais plaisants, et heureusement que nous avions un plan et que nous connaissions déjà l’endroit. Nous sommes passé devant le Bela Vita,
le restaurant où nous avions organisé notre chapitre il y a deux ans. Le temps était beau et annonçait une belle matinée. En effet, après les 5,8 kilomètres, nous nous sommes changés en ôtant le T-Shirt jaune pour notre Polo
rouge.
Nous avions une idée derrière la tête : aller dire bonjour à nos amis des Brasseurs et Distillateurs de Wallonie présents avec deux confrères et une consœur pour tenir leur stand à la fête du quartier de l’Avenue de
Tervuren-Montgomery. Promenade, d’abord souterraine en métro, arrêt devant la statue du Vicomte Montgomery d'Alamein qui donne l’impression de surveiller les divers membres des partis politiques en T-shirts, portant pancartes
ou autres logos politiques, qui déambulent sur les lieux.
Nous avons soif et Jean-Claude et Michel nous accueillent et nous y dégustons une… Val Dieu. Brasserie que nous visiterons le 25 août prochain. Nous avons faim, et après un petit tour de reconnaissance, une immense poêle de paëlla
nous sourit et Philippe et moi-même en dégustons une bonne portion, tandis que Yves se contentait d’un pain-saucisse. Le tout accompagné par une sangria très bonne mais… la nôtre est quand même meilleure.
Retour chez nos confrères pour prendre le digestif de houblon. On se sépare après avoir pris une tasse de café à la terrasse d’une magnifique taverne. Au revoir, et l’aventure se termine là.
A noter que le chapitre des Distillateurs et Maîtres Brasseurs de Wallonie aura lieu le 9 NOVEMBRE 2024 à PROFONDEVILLE et que le Grand Maître Jean-Claude, malgré des problèmes de santé, participait à notre récente balade du 1er Mai.
Edmond KERSTENNE
Responsable promenade dominicale.
Le 28 AVRIL, c’est à Couthuin, entité de Huy, qu’une balade ADEPS était organisée. Les bénéfices allaient augmenter les caisses du Télévie local. Comme chez les Chauves on n’était pas très chaud pour faire une promenade,
vu … le froid et la pluie de la semaine, j’ai donc participé à cette promenade de 11,7 kms avec dix-sept de mes anciens collègues de travail, retraité(es) également.
Heureusement que nous étions prévenus qu’il risquait d’y avoir de la boue et que le relief n’était pas des plus plats, nous étions tous munis de nos bâtons de marche et ce fut bien nécessaire.
Qu’importe cependant, car nous connaissions l’objectif de cette balade, et nous savions qu’à l’issue de celle-ci, deux beaux boulets à la Liégeoise (220 gr chacun), frites et sauce lapin nous attendaient. Le tout arrosé par une
spéciale « Bière l’Etape ». Cet excellent repas s'est clôturé par un morceau de tarte et un café.
Vers 15 heures nous reprenions le chemin de notre domicile, heureux de s’être retrouvés une nouvelle fois en bonne forme.
A souligner que ma tenue de Chauve fut admirée et même que je fus questionné sur la confrérie. Heureusement que les 930 personnes présentes se sont étalées sur toute la journée. Content d’être rentré après ces efforts nécessaires
pour m’entraîner pour notre balade du 1er MAI.
Edmond KERSTENNE
Responsable promenade dominicale.
Le 21 AVRIL, nous sommes quatre (Sophie, Jean-Louis, Gilbert et Yves) pour nous rendre à JOGOIGNE. Nous pensions être en territoire connu, hélas cela ne semble pas être le cas.
La rue où l'événement est supposé avoir lieu est interdite à la circulation, complètement ouverte pour cause de travaux. Nous suivons les méandres d'un bâtiment que nous croyons être le bon et arrivons enfin à l'accueil.
Tout cela semble bien petit et effectivement nous rencontrerons peu de monde ce jour-là. Nous nous rendons compte que les habitués de l'endroit arrivent par une autre entrée bien plus agréable et bien plus facile. Fallait le savoir ! Fallait surtout nous le dire !
Nous empruntons de petits chemins. Nous montons une colline assez raide au sommet de laquelle nous sommes accueillis par des vaches qui nous prient de ne pas jeter nos détritus dans la nature comme le feraient des cochons !
Nous arrivons dans la campagne. La vue vaut le détour mais les chemins sont glissants. Malheur à ceux qui n'ont pas pensé à emporter leurs bâtons de marche ou dont les bâtons sont trop courts. Nous avançons prudemment tout en
regardant en même temps le chemin et la nature dans toute sa splendeur. Un peu plus loin c'est carrément la mare aux canards. Eau et boue sur toute la largeur du chemin. La prochaine fois nous emporterons un canot pneumatique !
Pour l'instant nous ramons. Peu importe nous continuons et arrivons bientôt au bout de notre parcours. Par un chemin praticable cette fois.
Comme nous avions tous choisi de ne marcher que cinq kilomètres, nous restons un bon moment à la plaine de jeu. Le petit train, la petite maison (attention de pouvoir en ressortir quand on mesure 1m85) et autres attractions attirent
toute notre attention. A tout âge, l'homme reste un grand enfant. J'ai bien dit l'homme car Sophie se contente de prendre des photos, pas toujours facile avec le soleil dans les yeux. Ensuite une soupe ou une bonne bière.
Enfin nous redevenons adultes. Ce n'est pas trop tôt.
Le retour s'effectue sans encombre. Nous passons toute la journée du lundi à nettoyer nos chaussures ! ! !
Yves CATFOLIS.
Le 14 AVRIL, nous étions 9, enfin 8 bipèdes et 1 chien. Il y avait risque de forte pluie. Aussi en voyant l'échoppe de notre vieille connaissance, le marchand de fromage, Philippe et Yves ont immédiatement
achetés des œufs et se sont empressés de les faire parvenir aux Sœurs Clarisses pour conjurer le mauvais sort. Et cela a fonctionné ! Comme quoi il est permis de croire aux miracles.
Jean-Louis et Yves choisissent le parcours de dix kilomètres, les 16 autres pattes (12 des bipèdes et 4 du chien) celui de cinq kilomètres. Le tracé est presque sec tant que nous nous n'atteignons pas le fond de la vallée.
Nous longeons des courts de tennis et des manèges. Comme quoi en Belgique il n'y a pas que de la pluie mais aussi des idées et de l'argent.
Quand nous nous dirigeons vers le fond de la vallée l'eau stagne et nous affrontons boue et flaques d'eau. Nous avons de la chance, il y a bien plus de descentes que de montées et puis grâce au programme d'entraînement proposé par
notre ami Edmond nous avons l'habitude.
Nous marchons à vive allure, encouragés par les chants des oiseaux, aussi bien que les vingt pattes franchissent quasiment en même temps la ligne d'arrivée. Nous reprenons des forces grâce à une bonne bière (deux pour être honnête).
Nous retournons auprès de notre fromager pour lui acheter quelques spécialités (un Falaën, que vous pouvez comparer à un Herve doux, un Val Dieu et un fromage de chèvre de Sainte-Maure de Touraine, clin d'œil à nos amis français et
à notre Confrère Jean-François en particulier). Cette fois-ci, c'est pour Nous faire plaisir.
Hésitants au départ, nous sommes heureux d'avoir pris la bonne décision d'être venu marcher. D'ailleurs qu'attendez-vous pour venir nous rejoindre à une prochaine occasion ?
Vous trouverez le programme sur notre site bien connu. Et dans cinq ou six mois, le beau temps devrait refaire surface en Belgique !
Royales Amitiés.
Yves CATFOLIS.
Le 7 AVRIL, c’est à HANRET (commune d’ÉGHEZÉE) qu’est programmée la promenade dominicale. Malheureusement je suis seul pour marcher mais comme je désire garder la forme je me décide à m’y rendre.
Je vous épargne la traditionnelle phrase vous disant qu’à 10 heures il y avait beaucoup de monde. Ce village où je ne m’étais plus rendu depuis des années, a beaucoup évolué, en constructions, en propreté surtout que les températures
douces m’amenaient à la décontraction. Pour rejoindre le lieu de départ, je dois emprunter le pont qui surplombe le Ruisseau de la Batterie (Photo 1), très propre et qui déambule protégé par deux rangées d’arbres. Le lieu de
rendez-vous se situe à l’école communale à côté de l’Eglise Saint-Remy d’Hanret (Photo 2). Celle-ci fut construite entre 1760 et 1766 et agrandie en 1846. Elle est d’inspiration classique en brique et pierre bleue.
Il est temps que j’aille prendre mon plan et je me lance pour les 5 kms par monts et par vaux. Je passe devant la petite académie d’Hanret qui abritait autrefois l’école du village, construite en 1905. Après des travaux, elle
accueille les ensembles vocaux, instrumentaux et théâtraux de l’Académie d’Éghezée. Par de petits chemins, à peine visibles (heureusement qu’il y a le fléchage) mais très pittoresques je découvre un patelin où l’on construit de
belles maisons, de beaux jardins regorgent de tulipes, et les arbres fruitiers sont en fleurs (Photo 3).
Je terminerai par l’étymologie de HANRET (HAN signifie trou et RESCH noir en celtique). La rue de Montigny portait le nom de "Rue de Noir Trou" avant la fusion des communes en 1977. Cette origine pourrait témoigner de l’ancienneté
de son histoire : on y a, en effet, découvert les vestiges des fondations d’une villa romaine (un domaine agricole à l’époque) mais aussi une hache en silex poli qui remonte à 3.000 ans.
Après une heure de marche, toutes ces découvertes m’avaient donné soif et donc j’ai dégusté une bière fabriquée, dans une microbrasserie à Leuze-Longchamps (Photo 4). Une seule a épanché ma soif son degré étant suffisant.
Ainsi se terminait une belle matinée.
Edmond KERSTENNE
Responsable promenade dominicale.
Le 31 MARS, en ce jour de Pâques, nous étions quand même cinq présents : Brigitte, Gilbert, Dirk, Philippe et moi-même. Accès facile et à l’heure malgré le passage à l’heure d’été et nous démarrons pour les
5 kms vers 10h00. Malgré une météo défaitiste, nous sommes bien habillés pour affronter les prévisions de pluie et nuages. Nous quittons l’école Singelijn pour rejoindre le sentier longeant d’un côté la Woluwe et de l’autre le
Boulevard de la Woluwe. Nous traversons en face du Kwak, bien connu par nos marcheurs, et persévérons sur le même chemin. Le Moulin de Lindekemale, restaurant d’excellente réputation, semble très triste depuis sa fermeture,
commerce à remettre, la roue du moulin recouvert d’une mousse verte. Triste mais espérons qu’un repreneur ne tarde pas trop pour relancer ce typique établissement.
Nous arrivons au premier grand étang, au Parc Malou, et dont le château veille sur les divers volatiles et promeneurs qui passent à ses pieds (Photo de gauche). Le sol est assez boueux à cet endroit, mais les jeunes canards
commencent à s’ébattre dans l’eau. Nous arrivons à un chemin qui nous fait prendre à droite, dans la commune de Woluwe-Saint-Pierre où nous entrons dans un dédale de petits chemins, qui nous mèneront finalement à la maison-château
situé dans le parc Crousse. A cet endroit, nous avons eu plusieurs fois l’occasion d’assister au repas "huîtres" organisé par le Lions Atomium dirigé par André GENART qui fut intronisé dans notre confrérie (Photo du centre).
L’intérieur de cette bâtisse nous offrait la vue de meubles anciens, du 16ème siècle, de vieux objets qui apportaient calme et solennité. Auparavant, nous avions longé le stade Fallon et tous ses terrains pour exercer le football,
le hockey, le base-ball, la basket etc…
Comme nous ne voyons aucun adversaire à affronter, nous passons notre chemin pour remonter vers l’Avenue Jean-François Debecker et ensuite prendre une route pavée, l'avenue de la Chapelle qui nous conduira à celle-ci : son nom :
« Chapelle de Marie la Misérable ». Cette dénomination nous interpelle un peu mais trêve de discussions, les gosiers deviennent secs car nous avons chaud et il est temps d’assouvir notre soif.
Après 6,2 kms, nous arrivons à destination et à l’unanimité nous prenons la bière dénommée la "ZOEVEL" ambrée, bière belge artisanale et biologique fabriquée par la brasserie de la Lesse.
Comme Philippe veut fêter les cloches, il offre une seconde tournée du même cru (Photo de droite). Et à 12h30 nous regagnions nos habitations, en espérant se revoir bientôt.
Belle promenade, réserve d’air pur et de… houblon. Je vous attends la semaine prochaine : les informations suivront.
Edmond KERSTENNE
Responsable promenade dominicale.
Le 24 MARS, nous devions normalement faire une promenade à Nil Saint Vincent, mais chapitres obligent, j’étais seul à marcher. Qu’importe Villers-le-Bouillet, à 20 minutes de chez moi, voyait son école Saint Martin organiser
une marche et j’y suis allé. Je pénètre dans de très beaux locaux et me fais remettre les 5 kms et mon cachet sur le carnet de route. Le temps est venteux, frais, parfois une goutte mais un chauve n’a peur de rien dans ce genre.
Je déambule dans quelques routes de la commune mais je dois faire attention aux flèches du parcours car, très intelligemment les organisateurs ont tracé un parcours 5 kms poussette ou... bois. De toute façon je me vois obligé de
respecter ma vitesse car nos batraciens doivent traverser la route pour mettre au monde les œufs (Photo de gauche). Direction la traversée, en descente, du bois de Champia. A peine pénétré, je remarque que je suis heureux d’avoir
mis mes grosses bottines avec de bonnes semelles car le chemin, suite aux intempéries, me fait penser à un parcours commando où l’adjudant à moustache nous faisait ramper (Photo du centre).
Arrivé au pied, croyez-vous que les problèmes soient résolus ? Que Nenni ! Un petit ruisseau, normalement charmant, s’est étalé sur à peu près 2 m de large donc c’est un gué mais pas gai du tout. Après la traversée prudente,
souliers noyés, j’en sors et prends le chemin du retour en remontant le parc de la Burdinale-Mehaigne, face au vent, soleil dans le dos. Conséquence : arrivé sur le plateau j’étais plus ou moins sec des pieds mais aussi de la gorge.
Je suis revenu par la rue « mabiet…s », ne le prenez pas mal, et j'ai regagné l’école avec plaisir.
Directement j’ai écrit mon commentaire dans "le livre d’or" et terminé par une bière plus ou moins locale intitulée « La Crapule » (Photo de droite). Outre mon rappel de l’armée, j’ai revu aussi le jargon d’étudiant. En rentrant dans
ma voiture il grêlait et, heureux, j’ai salué de loin ces dernières giboulées, heureux de ma matinée.
Edmond KERSTENNE
Responsable promenade dominicale.
Le 17 MARS, c’est à HÉRON que nous avions programmé une promenade dominicale. Vu les chapitres, les congés ou autres occupations nous savions que nous ne serions que deux : Philippe et moi-même.
Vers 9h45 nous sommes à l’accueil malgré les prévisions négatives de la météo, nous n’avons jamais connu le ciel gris et encore moins la pluie. Un grand nombre de marcheurs s’inscrivaient à la réception de l’ADEPS situé dans la
belle et spacieuse école du village. L’Eglise, vu son imposante construction, semblait surveiller tous les arrivants et voir si tout se passait bien (Photo de gauche).
Nous commencions par une côte douce sur la route principale, mais cela ne nous empêchait pas de discuter. Et tout en discutant, nous avons entendu crier à plusieurs reprises « Monsieur ! Monsieur ! ». Finalement on s’est arrêté et
en nous retournant on croisa le regard d’un marcheur qui nous signalait que nous avions oublié de prendre un petit chemin de campagne sur notre droite. Comme quoi, il faut toujours être très vigilant. En prenant cet étroit passage,
nous avancions, à l’orée d’un bois vers les immenses campagnes et un sommet dont nous avions une magnifique vue aussi bien vers Namur que vers Huy et Tihange où nous distinguions les fumées des grosses cheminées (Photo de droite).
Retour dans le centre du patelin pour arriver, à notre parking où nous changions de souliers pour être présentable. Le K-Way rouge que nous avions gardé a fait son effet et de plus en plus le bouche à oreille va informer qu’une
Royale Confrérie des Chauves existe en Belgique. Evidemment nous avons pris notre boisson traditionnelle, une Leffe pour Philippe et pour moi une Houppe. Après avoir discuté un peu avec les personnes qui nous questionnaient,
nous prenions le chemin du retour vers 12h00 pour aller manger à Éghezée au "Cheval Blanc", une excellente salade composée de produits locaux comme le foie gras, le canard confit accompagnés d’un verre de Chardonnay.
Conclusion : la semaine prochaine nous irons à Nil-Saint-Vincent (voir adresse ci-dessus). On prévoit les giboulées mais… toujours le Chauve sourit et j’espère que nous serons quelques-uns.
Encore une belle matinée dominicale à marquer d’une pierre blanche… comme d’habitude dans la joie et la bonne humeur.
Edmond KERSTENNE
Responsable promenade dominicale.
Le 10 MARS, nous nous étions donnés rendez-vous au Bois des Rêves à Ottignies-Louvain-La-Neuve. Après avoir cherché une place de parking, tant il y avait des marcheurs, nous nous retrouvons à l’accueil
vers 10h10 pour démarrer nos 5 kms (distance choisie).
Après un démarrage facile, notre parcours nous conduit au pied d’une montée assez difficile mais qui nous fait découvrir de beaux paysages (Photo de gauche). Il ne pleut pas et nous devisons gentiment, sérieusement pour vaincre cette
difficulté. Enfin cette épreuve se termine par une descente assez ennuyeuse vu que les racines dépassent du sol et nous n’avons pas envie d’utiliser une ambulance pour rentrer chez nous.
Arrivés sur le plat, nous empruntons un pont pour éviter le ruisseau qui coule allègrement et nous constatons que déjà, à 11 jours du printemps, certains arbres fleurissent (Photo du droite). Nous suivons le chemin qui longe le
parcours « Vita » dont les éléments semblent peu utilisables. Mais qu’importe, nous n’avons qu’une idée, comme d’habitude, c’est terminer agréablement à la cafétéria où nous avons le choix dans une panoplie de sortes de bières
bien de chez nous. Nous jetons notre dévolu sur une "Triple Saint-Hubert", bien fraîche, qui nous remet d’aplomb.
Ce sont nos marcheurs Gilbert et Brigitte qui insistent pour offrir une tournée. Un grand merci à eux. Comme on ne marche jamais sur une seule jambe et qu’on est très bien, surtout que beaucoup de personnes nous posent des questions
sur notre confrérie, on reprend une seconde tournée offerte par votre scribe à l’occasion de son anniversaire fêté très gentiment par ses quatre amis marcheurs (Photo du dessous).
Conclusion : nous étions heureux de nous retrouver, nous avons mis nos cartes ADEPS en ordre niveau assurances, nous avons été positivement remarqués par des voisins de table. J’en profite pour remercier mes quatre amis qui ne sont
pas gênés de m’accueillir en chantant en public "Happy Birthday". Quel agréable souvenir de cette matinée.
Edmond KERSTENNE
Responsable promenade dominicale.
Le 25 FÉVRIER, nous nous étions donnés rendez-vous à Céroux-Mousty. Malgré un temps de chien fin de semaine et une pluie battante sur l’autoroute le matin, nous étions au départ dès 10 heures pour les 5 ou
10 kms. L’épreuve aurait pu être une promenade dite « cross-country », vu que dès le début du parcours, après quelques centaines de mètres, nous devions descendre une pente dans les bois et la boue y régnait en maître.
Jean-Louis et Sophie, devant s’entraîner pour la marche de Saint-Jacques-de-Compostelle, choisissaient les 10 kms tandis que les trois autres empruntaient, prudemment, le parcours des 5 kms.
Une foule nombreuse, parking sur la place très difficile et très boueux mais qu’importe, empruntait cette fameuse descente. Mais les personnes âgées, sans bâtons de marche, téméraires, et même en sandales d’un blanc immaculé au début
de la pente, ont risqué la chute, les dérapages « incontrôlés » : bref marche : "non", cross : "oui" !. Heureusement nous avons traversé de beaux coins silvestres, campagnards, pour arriver à une maison, plutôt un château
"Rue Bois des Conins" (photo de gauche) au pied d’une longue côte (forcément après une descente il faut remonter). Chacun à son rythme, en admirant les jeunes bourgeons, des arbres en fleurs, nous revenions au lieu de départ : la salle
où nous avons assisté à de nombreux chapitres. Après une grosse demi-heure d’attente, le temps de boire une Rochefort, nous avons appelé notre président qui, normalement, aurait déjà dû atteindre le lieu de dégustation.
Il s’était pris le pied dans une racine et avait chuté, pas gravement physiquement mais son beau K-Way rouge vif avait la couleur d’une personne qui sort d’une mine de charbon. Bref nous sommes tous rentrés à bon port, la Rochefort
accompagnée de saucisson fumé, de fromages, auront tôt fait de nous requinquer. La salle était pleine (photo de droite).
Conclusion, qu’il vente, qu’il pleuve, qu’il neige, que ce soit boueux, le Chauve sourit face à l’adversité proposée par la nature. Mais quel bol d’air pur et pas de trottinettes !!!
On se retrouve à Saint-Gilles la semaine prochaine.
Edmond KERSTENNE
Responsable promenade dominicale.
Le 4 FÉVRIER, Philippe et Yves se sont dirigés vers TUBIZE pour perpétuer la tradition de la promenade dominicale des Chauves.
Le poète avait demandé "TUBIZE or not TUBIZE" ? Nous avons répondu TUBIZE, why not ! Réponse moins évidente qu'il n'y paraît, la pluie et la grisaille nous avaient accompagnés les jours précédents et l'avenir n'annonçait pas grand
chose de mieux. Arrivés sur place nous devons constater que peu de promeneurs ont répondu à l'appel. N'importe, nous nous mettons en route en scrutant le ciel.
Nous avons choisi le parcours de cinq kilomètres en espérant être rentrés avant que la pluie ne nous tombe dessus.
La promenade commence en ville. Nous remarquons le grand nombre de salons de coiffure. Cela ne nous servira à rien, qu'il pleuve ou qu'il vente, un chauve n'est jamais décoiffé. Ne nous laissons pas distraire, il y a lieu de suivre
attentivement le fléchage. En effet, arrivés au chemin de fer nous bifurquons à gauche et longeons des jardins pour ensuite nous lancer dans la nature. Nous suivons les méandres de la Senne et de ses affluents, petits cours d'eau
au débit souvent important.
Grâce à notre K-Way rouge nous ne passons pas inaperçus. Quelques jolies dames nous adressent la parole et souhaitent nous prendre en photo. Une photo de notre K-Way, pas nécessairement de nous, hélas comme disait Ménélas.
Le terrain est bien humide mais le ciel reste serein. Il ne fait pas froid, il fait bon respirer l'air pur de la campagne et le paysage est agréable. En guise d'animaux nous remarquons surtout les nombreuses traces laissées par les
taupes. Nous marchons à un rythme soutenu, peut-être un peu trop soutenu pour certains, et nous regagnons bientôt les rues de la ville pour ensuite rallier l'arrivée l'âme en paix.
La question se pose : "Two beers or not two beers". La réponse est spontanée et sans appel : "two beers, yes we can" !
Finalement le temps nous a été favorable et nous ne regrettons nullement d'avoir répondu par l'affirmative aux questions qui nous ont été posées, surtout à la deuxième.
TO BE CONTINUED. SEE YOU NEXT TIME.
Royales Amitiés.
Yves CATFOLIS.
Responsable Adjoint des promenades dominicales.
Le 28 JANVIER, lendemain du 5ème chapitre de l’Ordre de Gambrinus, une promenade à FLOREFFE était programmée. Nous étions sept chauves à cette manifestation, mais personne, en se quittant, ne semblait volontaire
pour marcher le lendemain. Notre marcheur émérite, notre président et son épouse Sophie, ont tout de même décidé de se rendre au départ de cette randonnée où, évidemment… aucun autre marcheur ou même « apérotiste » n'était présent.
Le temps n’était pas terrible mais les 10 kms ne les gênaient nullement et durant une grosse heure ils eurent le plaisir, par monts et par vaux, de découvrir un coin sympathique le tout protégé par une abbaye dont la réputation n’est
plus à faire.
Leur mission terminée, les effluves de la veille s’étant évaporées, ils terminèrent en dégustant une excellente soupe aux oignons, qui les revigorèrent. Evidemment des bonnes tartines au choix firent partie de leurs
"agapes dominicales", le tout arrosé du divin nectar brassé à l’abbaye du patelin. L’âme en paix ils regagnèrent leurs pénates et ne regrettèrent pas leur effort. Leur conscience était tranquille et leur estomac également.
Edmond KERSTENNE
Responsable promenade dominicale.
Le 21 JANVIER, c’est à WAYS dans l’entité de GENAPPE que nous avons décidé de nous promener. Nous avons bravé le froid piquant, surtout le vent venant du sud qui soulevait de fins nuages de neige.
Heureusement nous étions bien équipés et Philippe avait une paire de chaussures adéquates. Nous étions à l’heure à l’accueil, nous avons acheté les timbres ADEPS, gage d’assurance en cas de problème médical ou d’accident.
Décision collégiale, nous portons notre choix sur les 5 kms qui en fin de parcours s’élèveront à 6 kms 200. Evidemment par -3° le système métrique était sans doute gelé… mais qu’importe, la promenade le long de chemins d'une campagne
immaculée de neige nous a fait un bien fou. Dès la fin du premier tronçon nous arrivions à une ferme château mais malheureusement nous ne connaissions pas sa dénomination (Photo de gauche). Nous devions faire très attention, vu que le
sol était neigeux, verglacé, des pavés présentaient un relief pas toujours stable et enfin lors d’une petite descente, le chemin était « à pic », l’occasion de bien calculer son itinéraire pour ne pas s’étaler.
Après être passé sous le RAVEL, par un tunnel où l’on découvrait un peu de boue (le dégel commençait) nous sommes arrivés à un endroit, que vu la photo (Photo centrale), nous l’avons baptisé le PONT DE LA RIVIERE… DYLE ! Mais pas de David NIVEN mais trois
chauves et une épouse courageuse.
Enfin le retour : arrivés sur la route normale, nous fûmes impressionnés par le nombre de voitures et le monde qui occupait la buvette. Car après une gymnastique dangereuse les survivants… devaient se remettre d’aplomb dans le
réfectoire de cette magnifique école primaire.
Evidemment, que boire à GENAPPE, sinon la Blonde du Lothier, dans les verres assortis, et que propose la Confrérie locale. Les trois chauves n’hésitèrent pas à boire un demi litre de ce divin breuvage, tandis que Sophie, sage et
prudente dégustait un verre d’eau plate le tout accompagné de deux raviers de cubes de fromages, de morceaux de saucissons et des olives. Le couple présidentiel a accepté qu’on les photographie derrière ces produits, délicieux et
que lors du chapitre du Lothier en septembre, vous pourrez déguster (Photo de droite).
En conclusion, ce fut un très beau moment dans un beau décor et dans des locaux très avenants. Bravo pour cette journée.
Edmond KERSTENNE
Responsable promenade dominicale.
Le 14 JANVIER, le froid n'a tracassé aucunement les marcheurs habituels (en attendant d’autres) qui reprennent leur équipement un petit peu diversifié. Nous nous retrouvons à LONZÉE toujours à la même heure,
notre président revêtu de sa casquette et du K-way « Chauves » qui s’avèrera très pratique par ce temps froid. Yves a du jaune sous son anorak, Philippe aussi camoufle un échantillon de costume mais oublie que c’est une marche et
il avalera les kilomètres en mocassin brillant.
Edmond n’a pas encore vidé toutes les caisses de déménagement et revêtira une tenue « civile » inédite. N’oublions pas Sophie qui elle ne fait pas de fioriture mais émet le souhait que les compagnes ou épouses puissent aussi acheter
un K-way.
Nous nous partageons en deux groupes, Jean-Louis et son épouse Sophie opteront pour les 10 kms qui s’avèreront plutôt 12,500 kms. Les trois chauves devant accompagner une âme sœur s’engagent sur la distance des 5 kms qui deviendront
6 kms 300. Peu importe, si nous sommes en plein air, vent légèrement piquant au milieu des chemins de campagne, notre couple « présidentiel » aura le bonheur de traverser des forêts. Vous verrez sur les deux photos l’ancienne Abbaye
Cistercienne d’ARGENTON fondée en 1229. Abandonnée par la communauté religieuse, ce bien est actuellement propriété d’un cultivateur qui exploite les terres autour de cette bâtisse.
Yves et Philippe, ne croyez pas qu’ils vont rentrer dans les ordres ou prendre possession de cette exploitation, car sous le porche ils lisent l’écriteau « Entrée interdite ». Nous regagnons prudemment la salle d’accueil et nous
y dégustons une TRIPAN, bière tout à fait locale, brassée à quelques encablures de l’école et servie avec amour par son brasseur-créateur.
Nous attendons patiemment notre président qui essaye, en vain, de nous sonner, vu son retard, mais le réseau est très faible. Pour se faire pardonner, non seulement il nous offre une tournée de TRIPAN mais participe à la cagnotte.
Dernier fait : nous devions aller à THOREMBAIS LES BEGUINES, mais jeudi, cette promenade était annulée.
Conclusion : il faut bien choisir la destination, vérifier s’il n’y a pas de remise de promenade et goûter les produits locaux.
L’ambiance, nous l’avons trouvée sympathique. Des jeunes enfants aidaient leurs parents à ramasser des verres vides, ensuite revenaient pour nous vendre des pots de miel pour disposer de l’argent de poche pour aller en classe de neige.
Nous leur souhaitons bonne glisse, et surtout pas de chutes, pas de glissades mais un bol d’air extraordinaire.
Vous êtes tous et toutes les bienvenus ainsi que vos parents, amis, collègues. A la semaine prochaine.
Edmond KERSTENNE
Responsable promenade dominicale.
2023
Le 19 NOVEMBRE, deux intrépides ont reconnu la promenade que nous effectuerons, pour ceux qui le souhaitent, le 26 Novembre prochain lors de notre repas de fin d’année.
A Woluwe il pleuvait, et à Jezus-Eik plus une goutte.
Un ciel bleu nous a accompagné dans cette belle promenade, facile, sur un sol très praticable, pas glissant ni boueux. Pourtant il n’avait pas été épargné par la pluie de la semaine.
Il suffira d’une bonne paire de souliers et en cas de fraîcheur, notre nouvel anorak, pour ceux qui en possèdent un, et la casquette.
Un tracé, d’environ 6,5 kms en marchant à notre aise, nous a offert des coloris exceptionnels de feuilles encore accrochées, ou d’arbres déjà dénudés.
Nous nous étions parqués près de l’Eglise (Photo 1) et après la balade nous nous sommes rendus à la brasserie qui nous accueillera: "LA FORÊT" (Photo 2).
A l’intérieur, la photo des habituels assoiffés par un tel effort et vous verrez dans le fond de la photo l’espace le long de la fenêtre qui nous sera réservé (Photo 3).
Un heure trente d’air pur récompensée par une demi-heure de LEFFE.
Edmond KERSTENNE
Responsable promenade dominicale.
Le 15 OCTOBRE, c’est à Petit-Enghien qu’était programmée notre traditionnelle promenade dominicale. Nous sortions de deux semaines assez chahutées par la préparation, l’organisation de notre chapitre qui s’est
tenu le 8 Octobre dernier.
Bien qu’étant sorti la veille et l’avant-veille, Yves m’accompagne vers la commune de notre trésorier Yvon. Le ciel est bleu, il fait frais et sec et nous nous doutons qu’en face de la maison de notre confrère nous trouverons place.
Dès nos premiers pas pour nous rendre au départ à l’école du village, nous remarquons assez bien de monde. Nous démarrons nos 5 kms vers 10h00 et des poussières pour visiter cette commune qui apparait très propre, très calme et où
l’on ne connait certainement pas le C02. Nous atteignons notamment une chapelle dédiée à Saint Roch et Yves me rappelle que ce Saint à sa majorité vers 1361 abandonna tous ses biens et partit à Rome soigner les pestiférés.
Lui-même fut atteint par cette maladie et se retira dans une forêt avec son chien qui allait voler du pain chez un particulier pour nourrir son maître. Comme vous le voyez Yves s’est permis de pénétrer dans son … « cabinet » en
me montrant le guérisseur (Photo 1).
Après cette visite gratuite et sans papier à rentrer à la mutuelle, nous avons continué notre chemin à travers les campagnes par des petites routes très propres, décor qui conviendrait à une promenade du 1er MAI.
Au retour, nous attendait Philippe qui avait assisté, la veille au soir, à une soirée « spaghetti… qui étaient longs… longs » qu’il ne vit la fin de son assiette qu’à une heure avancée. Evidemment nous avons dégusté, en « connaisseurs »
la TRIPLE SWAF, bière locale brassée à Silly, légèrement amère et désaltérante (Photo 2).
On s’est quitté et en retournant pour reprendre notre voiture, nous avons fait une halte chez… St Yvon… pour y déguster une FLOREFFE avec ses invités. Voilà une promenade qui fut très agréable et qui nous permit de reprendre nos
pérégrinations dominicales, quoique nous remettrons cela le 29 OCTOBRE à PETIT-HALLET (voir ci-dessus) où nous pourrons sans doute refaire un itinéraire qui pourrait aussi nous servir comme 1er Mai… Mais une à la fois.
Nous vous attendons à cette occasion, car priorité aux chapitres d’abord.
Edmond KERSTENNE
Responsable promenade dominicale.
Le 24 SEPTEMBRE, c’est à Woluwe-Saint-Pierre que Philippe, Yves et Edmond effectuent la promenade dominicale. Pas de problème de parking car nous utilisons le transport en commun et nous atteignons très
facilement le Collège du Sacré-Cœur à Stockel. Nous effectuerons les 5 kms, qui, en réalité, en feront 6,4 km. Pour une fois nous parcourons à pied les rues de cette belle commune, jusqu’à l’orée de la Forêt de Soignes. Nous
arrivons au Parvis St Alix (photo de gauche) où nous découvrons une place très propre et spacieuse. Nous continuons par des trottoirs, en bon état, de petites ruelles sympathiques, et restons admiratifs devant de très belles villas, très bien
entretenues et où la notion de garnitures florales n’est pas un vain mot. La promenade sert aussi à cela, même quand on habite à 2 kms seulement, car, quand nous sommes au volant d’une voiture, nous ne pouvons pas nous permettre de
prendre le temps d’admirer comme nous avons pu le faire ce dimanche pendant une heure.
De retour au Collège, après avoir cacheté notre livret ADEPS, un apéro s’impose évidemment (photo de droite). Friant de goûter des bières spéciales, nous nous laissons tenter par LA STOCKEL (photo du centre) bière à 5,5°, légèrement amère et
parfumée au citron qui rafraîchit nos gosiers. Nous rejoignons le Métro à Stockel et regagnons nos pénates ragaillardis après ces efforts.
Maintenant pensons à notre chapitre donc pas de promenades les 1er et 8 Octobre.
Edmond KERSTENNE
Responsable promenade dominicale.
Le 17 SEPTEMBRE, Journée SANS Voiture à Bruxelles. Cependant, pour ne pas rester inactif et surtout pour ne pas avoir de gros engins à moteur Hybride ou Electrique qui nous barrent la route, Yves, Philippe,
Brigitte et Gilbert se donnent rendez-vous à la Station PARC, épicentre de départ vers les monuments bruxellois. Notre guide connait ses points de passage, les descriptions de chacun, les faits historiques qui s’y sont réalisés ou
se réalisent encore. Après deux heures de marche, de visites et d’écoutes, arrive l’heure de l’apéro.
L’endroit choisi par Yves était bondé et ne servait que des brunchs. Finalement c’est près de la gare Centrale dans un bistrot qui accepta leur visite qu’ils purent étancher leur soif.
La promenade eut été parfaite si, nos promeneurs n’avaient pas du slalomer entre les vélos, les trottinettes, tous les engins à deux roues qui roulaient sur les routes ou pistes cyclables, parfait mais aussi sur les trottoirs,
sur les pelouses, à plusieurs de front etc… Et en plus de tout cela, aucun policier en vue pour réguler ce trafic.
Messieurs les organisateurs, comme d’autres, faites en sorte que cette journée ne soit pas un danger pour les PIÉTONS.
Pour l’instant la police n’en sort plus, pour que l’ordre soit respecté. Mais de grâce que le public de ces engins fasse preuve de CIVISME. C'est la moindre des choses. Merci !!!
Le 3 SEPTEMBRE, c’est à Watermael-Boitsfort que nous allons nous promener. Certains viennent en métro et d’autres en voiture. Yves et Edmond cherchent leur chemin à l’aide de WAZE mais arrivent quand même avec 20 minutes de retard.
Outre les deux « pasts » nous accueillons Dirk, Brigitte, Gilbert, Sophie, Jean-Louis et Philippe, donc une belle équipe de 8 personnes.
Nous décidons de faire les 10 kms. Avec un quart d’heure de retard nous entrons dans les chemins tortueux le long des tennis puis nous dirigeons vers l’Eglise St Clément (XIème siècle) classée en 1949. Il fait beau et le soleil a
soufflé le brouillard ce qui rend tout ce que l’on voit attrayant, magique si pas féérique (voir photo ci-dessous).
La nature est splendide et semble rayonner de joie. Nous traversons le parc de la Héronnière, ensuite la Ferme du Chant des Cailles où nous admirons une panoplie de fleurs différentes, mais bien rangées, des fruits que les cultivateurs
du coin élèvent avec passion. Passons une barrière pour traverser sur des routes normales, les cités « Le Logis » et « Floréal », et atteindre le Boulevard du Souverain avec le bâtiment de la Royale Belge en cours de transformations
et bordé d’étangs.
Nous remontons par le quartier du « Coin du Balai » et l’on a besoin de toute son énergie pour atteindre le pont enjambant le chemin de fer. Là ceux qui souffrent un peu de la chaleur et des chemins accidentés préfèrent couper au
court : là, si le chemin était un vrai raccourci, les racines des arbres sortant du sol ont fort perturbé la marche quoique nous étions dans un cadre splendide. Sur le chemin du retour nous avons pu voir la
propriété du « Parc Tournay-Solvay » avec des espaces variés et des dénivelés importants. Enfin nous atteignons la maison communale, nous traversons le marché où les senteurs chatouillent nos babines. Il ne reste plus qu’une côte qui
demandera un effort assez colossal, pour rejoindre le Stade des 3 Tilleuls et la buvette.
Très belle promenade mais grosse surprise quant à l’accueil : on nous rectifie la distance : 12,4 kms au lieu de 10 !!! Une Leffe en vitesse et ensuite retour en métro pour les uns et là, le dimanche, les horaires sont modifiés.
Bref une très belle promenade, fort accidentée, mais qui nous a détendus. Et c’est le principal ! Merci pour la compagnie.
Edmond KERSTENNE
Responsable promenade dominicale.
Le 15 AOÛT, nous avions choisi le patelin de MÉLIN pour notre promenade dominicale. Cela commence bien pour Brigitte, Gilbert, Philippe et moi-même, le trajet du parking à l’accueil ressemble à un village
dévasté par la guerre, et nous serions la Légion Etrangère. Le terrain de football côtoie l’Eglise dédiée à Notre Dame de la Visitation. Donc cette sainte, avant un match, doit être implorée pour le gain de match (photo de gauche).
Nous plaignons ls visiteurs qui jouent et perdent la rencontre vu la protection décrite. Sans doute Saint-Guidon est-il le saint à qui s’adresser pour gagner une course cycliste et non un match de foot.
Début de la promenade et déjà un escadron de cyclotouristes comme si leur mission était la conquête d’un pays lointain ! De la route principale, nous empruntons un chemin de terre. Première colline (d’autres suivront) pas trop dure
nous met bien en jambe. L’absence de pluie, enfin, nous change des promenades précédentes. Les paysages sont beaux, la campagne est verte donc notre moral est au plus haut, nous bavardons gaiement. On pourrait dire que nous sommes
dans les patates mais nous gardons le sourire (photo de droite). Nous apercevons déjà le clocher de l’église, on pense l’arrivée en vue ! Ah que nenni ! Il reste encore un kilomètre dans les rues du village pour atteindre, enfin le
terrain de football. Ici pas de bière artisanale locale à déguster, qu’importe : une LEFFE blonde ou brune fera l’affaire et une seconde pour équilibrer nos guiboles.
Nous rencontrons et bavardons avec Mr Pascal COLLIN, bourgmestre d’Hélécine, et il est temps de rentrer. Très belle matinée en saine et amusante compagnie… comme d’habitude.
Yves CATFOLIS
Past Président - Contact Culture et Folklore Bruxellois.
Le 30 JUILLET, nous n’avions pour ainsi dire personne pour nous promener et j’avais signaler à Gilbert et Brigitte que je restais à la maison. Finalement, un voisin est venu sonner chez moi pour voir si je
voulais l’accompagner en promenade et je suis allé avec lui à Haut-Ittre pour parcourir une distance de 5 kms.
Le temps de m’apprêter en vitesse et nous prenions le ring pour nous rendre au point de départ. Arrivés sur place, nous avons directement remarqué que cette organisation ADEPS recueillait un vif succès.
Nous avons suivi le parcours longeant une rivière, remontant entre champs et bois. Les signalisations furent parfaites.
La nature était belle malgré le sol humide, buissons de mûres, fleurs sauvages, et une ancienne ferme château de 1860, nouvellement restaurée, nous combla d’admiration.
Sur le chemin du retour, nous avons eu l’attention attirée par ce panneau enfoncé au milieu de jeunes arbres (photo ci-dessous). Cette initiative communale remarquable invite les enfants, d’où qu’ils viennent, à planter un arbre pour reboiser
ce lopin de terre. Chaque arbre voit accroché à son tronc la date de la plantation et l’identité de l’enfant qui a effectué ce travail.
Très belle initiative qui nous a conduit sur le chemin de retour vers le bar où une Floreffe ou une Barbãr nous rafraichit la gorge.
Voilà comment j’ai malgré tout été marcher, en civil cette fois. J’avais quand même mon K-way au cas où… !
Edmond KERSTENNE
Responsable promenade dominicale.
Le 23 JUILLET, vu le temps prévu, nous avions décidé de ne pas nous déplacer trop loin et à la dernière minute nous nous sommes rendus à LA HULPE. Nous nous arrêtons donc rue des Ecoles, après 15 minutes
de route par l’E411 vu les travaux sur la chaussée de Bruxelles. Une pluie fine mais drue nous a accompagnés durant notre marche.
Evidemment nous avions pris nos précautions et c’était le moment de sortir nos nouveaux anoraks imperméables et chauds (voir photo).
Le 9 JUILLET, le club œnologique de la S.T.I.B. dirigé par nos confrères Pierre LION, Dominique DECOURSELLE et conseillés par notre Vice-Président Francis VANDENPLAS, organisait une marche durant tout le
week-end dans le but de verser un maximum d’argent au TÉLÉVIE. Inutile de vous expliquer cette opération que vous connaissez tous. Comme je l’ai écrit, nous allons éviter les autoroutes pendant un moment, et alliant cette crainte
à un geste très important, nous avions envoyé l’invitation à tous nos membres. Finalement ce sont les trois même Yves, Philippe et moi-même, habitant à un jet de pierre de HAREN qui ont répondu présent.
Accueil sympathique des organisateurs, et dès 11h15 nous démarrons pour les 5 kms : nous sommes douze, l’équivalent d’une équipe de foot et son entraîneur. Celui-ci nous conduit, par des chemins étroits, boisés, aux bosquets déjà
annonciateurs d’une récolte de mûres abondante cette année, le long de la ligne de chemin de fer et surveillé par des Airbus, Boeing et autres engins qui, souffrent tant ils sont chargés.
Nous côtoyons des bois et buissons magnifiques tant la diversité et le coloris s’unissent dans un cadre parfait (Photo de gauche). Nous traversons par une petite passerelle un petit ru qui alimente un petit étang où il ne ferait
pas bon de nager, sauf les grenouilles, écrevisses…
Manquant de galanteries sans doute, les quatre dames qui font partie de notre groupe ferment la marche mais cet honneur doit être glorifié par une photo (au centre). Finalement, le beau parcours se termine après 5kms environ et je
vous présente notre équipe, avec notre guide que soutient notre confrère Yves, sans doute, pour le remercier également (Photo de droite).
A l’arrivée au club-house, notre confrère Pierre nous accueille avec un grand sourire et pour le remercier d’avoir pensé à nous pour ce week-end, nous lui offrons l’apéro et lui posons quelques questions sur ce complexe sportif,
boisé magnifique qui, en principe, va être démoli en septembre 2024 pour que dans …x années, le métro termine la ligne 3 à cet endroit.
Moi je ne le verrai pas et c’est tant mieux, vu que la S.T.I.B. et visiteurs perdront un magnifique lieu de détente.
Ah oui ! La Victoria, la Cornet ou la Triple Karmeliet, au fût, deux… c’est assez aussi ! Nous avons filé avant qu’un orage ne se déverse mais heureux de notre marche et de notre geste. Merci Messieurs !
Edmond KERSTENNE
Responsable promenade dominicale.
Le 2 JUILLET, début des vacances pour certains, mais par pour d’autres, nous nous décidons de nous rendre à BOUSVAL. Pourquoi ? Tout simplement parce que les autoroutes, E40, E42 et E 411 subissent de gros
travaux qui risquent de nous freiner ou nous obligeraient à nous lever plus tôt. Quand nous arrivons, Philippe, Yves et moi-même, directement je reconnais l’endroit où j’avais négocié avec le responsable de la salle des sports
communale pour effectuer notre balade du 1er Mai. Mais le Covid est arrivé et nous a ennuyé durant 3 ans.
Nous décidons, comme c’est une reprise, de faire les 5 kms ce qui nous permet de longer la Dyle, le long de laquelle nous parcourons quelques centaines de mètres. Rivière propre, poissons, écrevisses, bref de quoi se sustenter si
nous étions braconnier. Après les chemins boisés, nous montons le long des champs où le maïs apparait sous une couleur dorée. Un vent doux nous délivre des effets de la chaleur et la vue est magnifique (Photo de gauche).
A la croisée des chemins d’autres itinéraires des 15 et 20 kms nous rejoignent et nous nous dirigeons vers le seul bâtiment visible, une chapelle datant de 1780 mais pas moyen de lire le reste. Lieu idéal de repos et de photos (Photo du centre).
Comme nous avions peiné pour monter nous avons pris la descente prudemment, par des chemins fleuris par des coquelicots et autres fleurs sauvages, pour arriver à la Dyle qui nous a quittés à l’arrivée.
L’apéro traditionnel nous a permis de déguster deux Bousval, bière du coin, à boire avec modération et si vous conduisez, deux maximum (Photo de droite) !
Et en évitant certains travaux, nous avons regagné nos pénates tout en se mettant d’accord que pour les deux mois de vacances nous éviterions les grands axes.
Edmond KERSTENNE
Responsable promenade dominicale.
Le 25 JUIN, Jean-Louis, Philippe et Yves se sont retrouvés à HÉLÉCINE pour un nouvel épisode de nos promenades dominicales.
L’accueil se fait sagement sous les arbres, à proximité de pistes de pétanque et du centre sportif. Est-ce que c’est cette douce ambiance qui fait que nous n’optons que pour les 5 km ? Le parcours nous entraîne à travers les rues
de l’entité et les chemins ruraux où nous remarquons les traces des récentes pluies. Attention de ne pas nous perdre dans nos discussions afin de ne pas rater une bifurcation !
Nous terminons notre promenade et rencontrons Pascal COLLIN, le Bourgmestre et son équipe avec qui nous avons une chaleureuse conversation (Photo ci-dessous).
Yves CATFOLIS - Past-Président.
Contacts Activités Bruxelloises.
Le 18 JUIN, Gilbert, Brigitte et Yves (Photo de droite) se sont donnés rendez-vous à PERK pour notre traditionnelle promenade dominicale. A huit heures du matin une fine pluie tombe sur les carreaux. Un temps idéal pour tester
notre nouveau K-way de la Royale Confrérie Nationale des Chauves de Belgique (Photo de gauche). Test réussi, le vêtement est léger et protège parfaitement de la pluie. Merci Yvon.
Nous débutons la promenade devant l’église. Le parking est plein, mais ce sont les clients de la boulangerie, pas les quelques paroissiens qui assistent à la messe. Nous longeons l’école maternelle CAJETANUS. Avouez que, prononcer ce
nom pour un petit bout de trois ans n’est pas évident. D’ailleurs qui ou quoi est CAJETANUS ? Ce n’est pas un joueur de foot belge ou une plante grimpante sud-américaine mais un Saint Italien du seizième siècle.
Nous marchons en direction du Château de Ribeaucourt et de la magnifique vieille ferme qui se trouve tout juste à côté. Modeste tour en bois au début du douzième siècle, le château est devenu à force de différentes transformations
et de changements de propriétaire, une grande bâtisse de plus de 200 chambres, entourée d’un parc du 90 hectares.
En mai 1746, Louis XV y logea quelques jours et en septembre 1944, le général britannique Miles Christopher DEMPSEY y dirigea la Bataille d’Arnhem.
L’aéroport de Melsbroek se situe tout près et le premier week-end de juillet 2023 un festival musical s’y est déroulé.
Nous longeons le parc et nous entrons dans les bois qui offrent un peu de fraîcheur en cette période de fortes chaleurs. Nous atteignons le Hellebos (« le bois de l’Enfer »). Nous en sortons vivants sans avoir vu de sorcières si
ce n’est de profondes ornières qui témoignent du passage d’engins forestiers qui sont venus découper et emporter des arbres caducs.
Nous continuons notre chemin sur des routes bétonnées. Nous voilà devant une petite parcelle de vignes. C’est le Landsakkershof (Photo du centre), une entreprise agricole familiale fondée le 23 décembre 1727 et qui depuis mars 2019 s’est lancée dans
le vin. Qui sait, dans 20 ou dans 50 ans, un nouveau grand cru belge !
Nous apercevons la tour de l’église et devinons la terrasse du Café "De Vier Vaten" (« les 4 fûts ») où nous trouverons certainement de quoi recharger nos batteries.
Yves CATFOLIS - Past-Président.
Contacts Activités Bruxelloises.
Le 28 MAI, nous avions choisi la promenade de GELBRESSÉE, près du camp para-commando de Marche les Dames. Yves et moi partons tôt vu les 20 kms de Bruxelles, vu les travaux sur le ring 0 au carrefour Léonard
et sur l’E411 entre Gembloux et Daussoulx. Après des mauvais conseils du GPS nous arrivons à destination, c’est-à-dire au magnifique terrain de football, entouré d’un vaste parking et qu’un ancien « co-do » nous invite à emprunter.
On ne savait pas avec certitude s’il viendrait, mais notre président Jean-Louis, après un chapitre très agréable du Blanke Dorèye à Jodoigne, la veille, était présent et nous nous inscrivons pour les 10 kms.
Dès le départ nous prenons une côte assez raide pour pénétrer dans la forêt qui nous conduira à Boninne. Ce style de parcours nous poursuivra durant les …12 kms. Mais le ciel bleu, les éternels chants d’oiseaux, les arbres brillants
sous le soleil nous font oublier les douleurs du parcours (Photo de gauche). La dernière côte, vit une échappée du président, suivi par après d’Yves et Edmond, courageux, restait à vue. De Boninne où nous nous étions rendus l’an dernier
nous avons rejoint, par des chemins de campagne faciles (puisque cela descendait) l’Abbaye de Notre-Dame du Vivier, la seule abbaye en Belgique construite au 12ème siècle, terminée au 13ème et toujours en élévation à l’heure actuelle.
Celle-ci ne peut encore accueillir des visiteurs dans toutes les pièces, vu qu’elles sont actuellement en rénovation. Personnellement j’ai visité ces lieux il y a 4 mois et si vous avez l’occasion n’hésitez pas à vous y rendre (Photo du centre).
Nous étions à mi-chemin et forcément on devait remonter la colline par les monts pour rejoindre GELBRESSÉE, chacun à son rythme. Le principal était d’atteindre le but, c’est-à-dire, le comptoir de la buvette du club de football.
Notre président, condescendant, nous y attendait avec trois CHOUFFE, que nous dégustâmes goulument. Pour continuer à nous hydrater… on en reprit une offerte par la cagnotte dominicale (Photo de droite).
Il était 13 heures quand nous avons pris le chemin de la capitale. Alors là, je suis parvenu à déposer Yves sur le pas de sa porte, mais pour traverser l’avenue de Tervuren j’ai, après moultes essais par différentes rues, repris
l’autoroute E411 jusque Jezus-Eik pour revenir par le Ring 0 vers l’échangeur de Zaventem, direction Bruxelles, sortie Evere et Ouf… j’étais enfin chez moi après, au total, deux heures de route.
La rentrée fut peu glorieuse mais le principal était que j’avais passé une belle matinée, à l’air pur, avec des difficultés que j’ai surmontées vaille-que-vaille mais toujours dans la joie et la bonne humeur, comme mes deux confrères.
Vu notre état de fatigue, en tous cas le mien, nous n’avons pas fait la sortie du lundi à Belgrade. Prochaine sortie le 4 JUIN à BRAINE-L’ALLEUD mais il faut prévenir YVES de votre présence. Adresse sur le site à « NOS BALADES ».
Le 21 MAI, nous avions décidé de retourner à DION-LE-VAL où déjà, l’an dernier, nous avions passé un bon moment. De retour, la veille, du Mont Ventoux, Jean-Louis tenait à être présent avec Yves et Edmond pour
effectuer 10kms. Lors de notre mise en route, le ciel était bleu, pas un nuage, du soleil mais un fond de l’air un peu frais. Peu importe, nous avons pris le départ vers 10h00 et nous avons discuté de tout, tout en observant la nature
qui dégageait un coloris d’herbes étincelantes, ou, au détour d’un chemin, des bouquets naturels de fleurs sauvages agrémentaient la beauté des lieux. Evidemment les orties nous attendaient et comme nous étions vêtus de notre
équipement sportif, short noir, nous n’avons pas été épargnés.
Dès le départ, nous découvrions un sous-bois magnifique où les rayons du soleil perçaient entre les feuilles (Photo de gauche). Ensuite nous longions des villas magnifiques, bien entretenues, au calme. Il faut dire également, que certains
chemins, durs comme du bêton, en descente comme en côte, rendaient parfois la promenade éprouvante. Mais après l’effort, nous arrivions par de petits chemins devant des étendues de terrains où se mêlaient cultures, et surtout bouquets
de multiples fleurs sauvages aux tons variés (Photo du centre). Même si nous étions fatigués, nous n’avons pas voulu le laisser paraître (Photo de droite), et nous tenions de le prouver par l’éternel photo des Champions !
Lors de l’apéro nous avons blagué avec beaucoup de personnes, jusqu’au moment où un couple d’Hélécine s’est attablé à côté de nous et avec qui nous avons conté notre dernière balade du 1er mai, notamment, et vers 13h00 nous quittions
l’endroit pour regagner nos pénates. Dommage pour les absents que nous espérons voir la semaine prochaine, le 28 MAI 2023, à 5024 GELBRESSÉE / MARCHE-LES-DAMES, rue Notre-Dame du Vivier.
Comme d’habitude, arrivée vers 9h45 pour partir au plus tard à 10h00. Merci de me prévenir.
Le 18 MAI, jour de l’Ascension, nous nous étions fixés rendez-vous à Henripont. Mais personne n’était libre ce jour-là ! En me levant je vis un ciel bleu, de fins nuages et la nature verdoyante de l’Avenue
Paul Hymans qui invitait à la balade. Ni une, ni deux, j’ai décidé, dès mon petit déjeuner terminé, d’aller promener le long de la Woluwe. Je me suis rendu vers le Kwak où nous avions bu un verre il y a trois ans après notre première
promenade et ai directement pris le sentier à droite longeant la rivière la Woluwe, propre, claire et légèrement bruyante (Photo de gauche).
J’ai constaté que le Moulin de Lindekemael, réputé pour sa gastronomie, était garni de barrières et d’herbes folles. Néanmoins la partie principale, la roue du moulin reste toujours attractive. J’ai continué par le parc Malou où de
multiples oiseaux, palmipèdes et autres animaux, se doraient au soleil. Pour les jeunes qui venaient de naître, maman canard apprenait à ses petits à se déplacer dans l’eau (Photo du centre). D’autres se reposaient langoureusement et
beaucoup de marcheurs ou joggeurs les prenaient en photos. Arrivé au Musée du Tram j’ai traversé l’Avenue de Tervuren vers le Parc de la Woluwe. Là aussi les photographes attendaient patiemment la pose des bécasses ou des cygnes (Photo de droite)
pour garder un magnifique souvenir de cette belle journée.
Retour vers mon domicile par les petites rues typiques de Woluwe-Saint-Lambert où j’ai terminé au Wolubilis où le prix d’une CHOUFFE bien fraîche est aussi comparable au prix imposant que le bâtiment. Mais on ne vit qu’une fois !
J’avais fait 6kms500, je ne me suis pas pris en photo, craignant de dépareiller l’effet des 3 clichés que je vous soumets ce jour.
Le 14 MAI, nous avions prévu une promenade à Seneffe. Mais à la suite de notre rencontre, le 7 mai avec nos amis des Brasseurs et Distillateurs de Wallonie (voir photo de la semaine dernière), nous avons décidé
de nous rendre au Marché Médiéval d’Etterbeek qui se tenait du 12 au 14 Mai. Rendez-vous est pris à 11 heures le 13 Mai et le soleil luit, les curieux qui arrivent s’amusent, les enfants sont rois et les stands représentants les
anciens métiers, les anciennes cuisines, les anciens jeux recueillent déjà beaucoup de visiteurs. Nous faisons notre cagnotte habituelle (qui sera un peu juste !!!) et salutations chez les Brasseurs : car « chose promise, chose due ! ».
Cette fois nous dégustons une Val-Dieu, (blonde ou brune, c’est selon…) en narrant les évènements de la semaine. Notre pèlerinage ne fait que commencer car à un saut de puces est installé le stand de Li Pîr’rêye di Lîcint (photo 1)
où nous dégustons Li Pîr’rêye, une bière très agréable à boire mais avec modération. On salue nos confrères pour nous rendre aux Chaussons et la Moinette d’Ellezelles (photo 2) très heureux de nous accueillir et de nous inviter à
taster une Moinette, bière que nous apprécions depuis au moins un quart de siècle. Une surprise nous arrive en l’arrivée de Pascal ROBYNS, son épouse, ses deux filles. Notre confrère s’excuse de ne pas avoir mis son polo, mais qu’importe,
quand on rencontre un ami fidèle, décidé à la dernière minute de venir, en famille, de Tilff à Bruxelles.
Au moment où nous allions faire notre « santéééééééééé » habituel, vient nous rejoindre un marcheur du 1er Mai très heureux de nous revoir et de boire un verre avec nous. Ce fut un réel moment de plaisir et vers 13h nous reprenions,
certains, le métro, d’autre le train vers Nivelles.
Le lendemain, c’était notre vice-président Francis qui tout seul comme un grand, allait saluer les mêmes amis ellezellois (photo 3) et namurois (photo 4) pour se mettre en forme avant, de prendre le chemin de l’Union Saint-Gilloise,
où il à participé à la joie de la victoire et surtout à la 3ème mi-temps. Evidemment quand on aime le sport, tout est permis dans le bon sens du terme.
Grand merci à Pascal et famille, Yves, Michel, Philippe, Edmond et Francis pour avoir représenté dignement notre Royale Confrérie.
Merci à ces confréries d’Ellezelles, de Lincent et de Namur pour leur accueil, leur sympathie et le sens de la confraternité.
Voilà comment une promenade dominicale devient un pèlerinage brassicole.
Le 7 MAI, nous avions rendez-vous à la Drève Olympique à Anderlecht, le domaine où le RSC Anderlecht possède ses installations multisports. Philippe et moi-même, malgré la pluie du matin, « qui n’arrête pas
un chauve… chauvin » nous arrivons à destination. Nous devons nous rendre à un parking dont l’accès est barré et impossible d’y aller en voiture. Après un quart de recherche, nous nous parquons à proximité, on s’équipe et nous nous
rendons au départ. Très peu de monde, contrairement à toutes les autres marches, et pourtant tout était accueillant. Il fait un temps de « canard » mais les palmipèdes, que nous rencontrons dans les étangs, sur les rives de ceux-ci,
n’en n’ont cure et nous les observons dans leur toilette notamment (photo de gauche). On se sent trempé de pluie, de transpiration (il fait 17°) et de plus la signalisation laisse un peu à désirer. Bref, une heure après il est grand
temps de revenir à Bruxelles car notre contact Folklore et Culture Bruxellois, Yves, nous avait annoncé la fête de l’avenue de Tervueren . Aussi, l’occasion était toute trouvée pour aller boire son apéro dans ce lieu festif au milieu
de ce square, d’habitude bondé de véhicules.
Sur place, nous arrivons au stand de nos confrères de Chiny qui vendent leur bière. La cagnotte étant préparée nous allons les saluer et prendre des nouvelles. Nous continuons notre tour, et ces sont nos confrères des Brasseurs et
Distillateurs de Wallonie qui hurlent après nous dirigés par notre confrère Michel LALOT et son épouse (photo du centre). Très heureux de les saluer nous testons deux bières différentes et comme les « goûts et les couleurs ne se
discutent pas » chacune reste sur ses positions dans son verdict. Avant de quitter les lieux nous promettons à nos amis de les revoir durant le week-end prochain aux fêtes médiévales d’Etterbeek. Mais avant de démarrer, photo souvenir
de nous tous (photo de droite).
Notre Confrère Yves, devait aussi se rendre vers 17h00 au même endroit. Encore une fois la Royale Confrérie était bien représentée, comme à la Zwanze Parade et au chapitre de Saint-Laurent.
Pour ceux que cela intéresse, le week-end prochain nous fixons rendez-vous à 11h00 le samedi 13 MAI, à la sortie du métro station MERODE, près du cinquantenaire ou alors directement au stand des Brasseurs.
Le 23 AVRIL, nous avions choisi une promenade ADEPS à GENAPPE, pays de la confrérie de la bière du Lothier et de sa tarte. Le temps était clément quand nous avons rejoint le lieu de rendez-vous.
Comme on avait le temps, Philippe et moi-même avons pris une bonne jatte et quand les trois autres participants ont pénétré au centre culturel, nous avons pris le départ des 5 kms.
Nous n’avons pas oublié d’acheter deux timbres ADEPS 2023 pour coller sur la carte de Brigitte et celle de Gilbert qui les assurent contre un éventuel accident sur le parcours. Ce timbre est offert par notre cagnotte dominicale.
Nous avons démarré par un tracé dans la commune de Genappe, la place devant l’église est propre, entourée d’arbres et la vitesse limitée est respectée. Ensuite, direction la verte campagne, parmi de petits chemins et entre les
diverses potales. Celles-ci sont très nombreuses, accompagnées à un croisement, d’une réplique de la vierge de Lourdes, juste en face de la Dyle que nous longeons. Mais il nous a semblé que la Chapelle des 12 apôtres,
vieille de près de deux siècles, prêtait son image à une photo souvenir (photo de gauche). Nous avons transpiré dans les petits chemins entre les haies, nous avons regardé de magnifiques chevaux, habitants d’un très beau haras.
A notre aise, en T-SHIRT quand le soleil luisait, nous avons regagné notre point de départ jusqu’au Centre Culturel, ancienne bâtisse et cour remises à neuf et décorées avec goût. Là, évidemment nous avons dégusté une bière du coin,
enfin …deux, merci Philippe (photo de droite). A midi nous regagnions nos pénates car le temps changeait. Evidemment nous avons acheté du fromage chez le fromager itinérant pour l’ADEPS.
Très belle région, très bonne ambiance et bon entraînement pour le 1er mai.
Edmond KERSTENNE
Responsable promenade dominicale.
Le 16 AVRIL, nous avions prévu d’aller marcher à ÉGHEZÉE, en province de Namur. Yves, Philippe et moi-même arrivons sur place vers 9h50 au moment où notre président Jean-Louis et son épouse Sophie rejoignent le
lieu de départ. En même temps nous pouvons déjà remarquer l’organisation dominicale du marché bien achalandé, où le monde arrive mais le parking, pas de problème nous trouvons place.
Le Centre Culturel de cette commune est visible de loin et nous nous dirigeons vers la réception ADEPS du point VERT. Après recherches, questions aux personnes présentes, nous lisons sur la porte que « La marche ADEPS est supprimée ».
En fait le point VERT devient un point NOIR. Sophie décide de se rendre à la Brocante, pensant sans doute apercevoir Sophie… DAVANT ? Nous démarrons sur le RAVEL et nous dirigeons vers Harlue puis Noville-sur-Mehaigne en longeant
ce ruisseau. Les arbres sont en fleurs (photo de gauche), l’herbe est bien verte et nous discutons gaiement.
Pour le retour nous prenons la N91 Namur-Louvain mais finalement cela devient ennuyeux et dangereux et prenons un raccourci, par un chemin de terre qui devient bientôt une prairie et enfin des plantations de ronces entrecroisées
gorgées d’eau. Nous nous rappelions notre service militaire et nous en sommes quand même sortis sans dommages, (nous avons l’entraînement) avec seulement les pieds et pantalons mouillés, mais qu’importe…
Deux kilomètres de Ravel et hop nous arrivions au centre culturel et sportif. Avant d’entrer à la cafeteria, nous décidons de faire un selfie (photo de droite) : le gérant s’arrange pour nous créer une table de 5 pour déguster notre boisson
traditionnelle. Après la tournée « cagnotte » notre Président, offrit son verre : chacun dégusta la TRIPICK, bière que nous apprécions et Sophie un thé.
D’où j’étais assis, je voyais la salle de sports où en 1992 j’avais arbitré en futsal le match international Belgique-Hongrie. On a profité d’être ensemble pour encore peaufiner la balade du 1er Mai et nous quittions les lieux, comme
d’habitude vers 12h20 pour rejoindre nos pénates, heureux d’avoir encore passé quelques bons moments ensemble.
Edmond KERSTENNE
Responsable promenade dominicale.
Le 2 AVRIL, c’est à Kampenhout-Centrum et Kampelaar que se déroulait la promenade dominicale.
Est-ce parce qu’il avait plu des cordes la semaine précédente ou que la veille était le 1er avril, que malheureusement, seuls un compagnon du Witloof, Dirk VAN CRAENENBROEK, Philippe et Yves, l'organisateur, se retrouvent.
Ce fut un programme alléchant, jugez vous-mêmes ! Nous admirons le buste de Ludwig VAN BEETHOVEN dont les ancêtres vécurent dans la localité. Nous traversons un manège où vivent chevaux et poneys adaptés à la taille de chaque
cavalier. Attila et Dolly (pas les tenanciers) nous font des yeux doux (Photo 1).
Ensuite nous parvenons à une micro-brasserie (Photo 2) située à l’endroit où était brassée une bière locale, la "CAMPUS" dont, maintenant, la production se réalise à MELLE à la Brasserie Huyghe, bien connue des Confréries puisque
c'est là qu'est brassée la "Délirium Tremens" entre autres. Endroit charmant, propriétaire accueillant et bières savoureuses, que demander de plus pour faire une belle promenade et la terminer une bonne heure et demie après.
Ces forces allaient nous servir pour affronter les chemins boueux, glissants par suite des pluies de la semaine : même les canards confondaient la Dyle et les grandes mares d’eau. Nous discutons avec un marchand de volailles et de
lapins. Il vend les « sierkippen », poulets d’ornements à ne pas confondre avec …poules de luxe !
Après la traversée d’une réserve naturelle nous gagnons le village où nous constatons que certaines demeures de bourgeois actuels sont plus cossues que celles des nobles du XIXème siècle.
Au centre culturel DE KROP, nous visitons un musée dédié au CHICON (Photos 3 et 4). Nous y apprenons, notamment, que les Romains connaissaient déjà la plante de « chicon » dont ils utilisaient les feuilles pour les maux d’estomac
« sans doute après un …chapitre » et que les soldats de Napoléon torréfiaient les racines pour remplacer le café.
Nous arrivons à la statue représentant le cultivateur du chicon (Photo 5) et ensuite, pénétrons dans l’église pour admirer le tableau peint en 2016 pour célébrer le 475ème anniversaire de la création de la Guilde des Archers de Saint Sébastien.
Pour terminer nous assistons brièvement à un spectacle de line-dance, mais nous préférons la vue d’un alignement de verres de bière.
Vous constaterez que nous avons passé de bons moments, historiques, culturels, équestres et… brassicoles.
Yves CATFOLIS- Past Président.
Contact Activités Folkloriques- Historiques et Culturelles.
Le 19 MARS, vu la météo de la semaine, nous allons nous promener à NIL-St-VINCENT. Ciel bleu, temps clément quand nous quittons Bruxelles pour atteindre, en vingt minutes à peine, le lieu de départ.
Les marcheurs, grands, petits et bien équipés prennent le départ souvent accompagnés de leur ami à quatre pattes. Vu que c’est la reprise, nous choisissons les 5 kms qui en fait, seront 6 mais pas de problème car "on sait là contre !"
Au vu du plan, on sait déjà que le parcours sera plat, en passant par des rues et des chemins de campagne, permettant de visiter ce beau patelin. Jugez vous-même : peu après le départ nous devons traverser le NIL, à pieds secs (Photo 1).
Heureusement on trouve le pont… mais nous espérions rencontrer la reine et notre future reine mais… non ! Personne. Pas grave, c’est la Saint-Joseph et nous arrivons à un petit rond-point où est édifiée une chapelle qui lui est dédiée (Photo 2).
Curieux, nous regardons par la fenêtre et découvrons une multitude de statues mais le pauvre Saint-Joseph est dans le bas du bâtiment portant son fils (Photo 3).
Nous traversons la commune par des rues propres, nous prenons des petits sentiers étroits, pour arriver sur une route qui nous conduit vers le Moulin du Tiège édifié en 1834 par la famille THIENPONT (Photo 4).
Il cessa toute activité le 23 Juin 1946 quand Joseph-Jean LORGE est décédé. Néanmoins il fut restauré, acheté par un particulier et on dit que c’est le plus bel exemplaire du Brabant Wallon.
Nous avons repris la route vers notre lieu de départ et, comme d’habitude, nous avons dégusté la bière locale, la « Walhain 5,5% », accompagnée par un plateau apéritif bienvenu (Photo 5).
Enfin… on a dû prendre chacun deux bières pour récupérer de la fatigue de chaque jambe.
Conclusion : cette commune est très propre, bien entretenue, nous présente des lieux typiques et nous la quittons avec la satisfaction d’une belle matinée.
Le 26 FÉVRIER, après un début d’année assez chahuté, nous avons repris le cycle de nos promenades dominicales, en évitant le double emploi avec les sorties en confréries.
Et deux courageux, Philippe et moi-même, nous avions décidé de nous rendre à Céroux-Mousty.
Munis de nos deux cartes pour y coller le timbre d’assurance annuel, nous décidons , pour une mise en jambes du parcours des 5 kms.
La magnifique place de Céroux-Mousty vers 9h45 commence à se remplir et le ciel est tout bleu, le soleil transmet un rayon de bonne humeur aux nombreux participants. Les formalités faites, sous un froid un peu piquant nous affrontons
une route de campagne qui se transforme en route pavée style « Enfer du Nord » de Paris-Roubaix.
Heureusement nous sommes bien équipés (Photo de gauche). La nature est belle, les oiseaux chantent, nous rencontrons des moutons qui bêlent à qui mieux mieux et un âne nous salue. Nous traversons un bois où les bourgeons commencent
à naître (Photo du centre) et le parcours s’élève un peu jusqu’à un kilomètre de l’arrivée.
Notre ami le marchand de fromage a déjà installé son étal et j'en profite pour acheter deux buches de fromage de chèvre à deux épices différentes.
Ouf nous sommes dans le local d’accueil. Pour ceux qui ont participé aux différents chapitres de la Confrérie des Fabricants de Vins de Fruits d'Ottignies, cela rappelait de bons souvenirs.
Evidemment visite au bar où nous commandons un remontant "religieux" : une Rochefort 10 (Photo de droite). Une pour chaque jambe et vers midi nous quittions le lieu de notre première promenade 2023, heureux de notre expérience même si
la reprise ne fut pas toujours facile.
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